Mardi 12 juillet 2022 : 1 an et 1 jour
C'était il y a un 1 an et 1 jour... Des « êtres humains libres et qui entendent le rester », citoyens de ce pays aussi, se réunissaient place des Cordeliers et c'était donc le mardi 13 juillet 2021.
Ils avaient compris, ces gens-là, que quelque chose n'allait pas... Au vrai, ils l'avaient compris depuis bien longtemps déjà. Et pour eux, ce mardi 13 juillet 2021, date du discours de Macron, a marqué l'entrée dans le covidisme. Le visiteur qui ne serait pas encore au fait de la chose – ou celui, trop naïf, qui en douterait – ou celui encore qui ignorerait le sens de ce mot, pourra se reporter utilement au Petit Dico qui naquit 6 mois après.
En un an, bien des choses se sont passées... Hélas, l'élevage de moutons a continué de prospérer, l'odieuse propagande de Macron et de sa clique s'est poursuivie, les conflits d'intérêt, même apparus au grand jour n'ont pas suscité la réaction qu'ils auraient dû, etc. Mais beaucoup plus grave, les prétendues autorités de ce pays, maniant la peur et/ou la répression, ont fait croire (et le font toujours) que le pseudo-vaccin est la solution au problème du Covid19 (quel problème, au fait ?) alors même qu'il n'est pas un vaccin mais une thérapie génique expérimentale et qu'il provoque des réactions, parfois très graves, voire mortelles, chez les injectés.
Pour informer celles et ceux susceptibles de l'être, c'est-à-dire les gens qui disposent encore d'un peu de bon sens et qui sont en état d'accepter les faits (et sans hausser les épaules ou traiter leurs interlocuteurs de « complotistes », pitoyable argument et mauvais néologisme de surcroît), les gens des rassemblements du samedi avaient prévu de se retrouver aux Cordeliers ce mardi 12 juillet vers 18 heures. Il y avait foule sur la place, la ville d'Annonay proposant ses animations estivales (« Panem et circenses » comme disait l'autre) : du hip-hop, assez bruyant au demeurant mais achevé vers 19h30, suivi d'un cinéma en plein air. Et ce fut tant mieux finalement, cela a permis aux passant(e)s de s'arrêter autour du « Cercle des disparus », monument funéraire et provisoire érigé sur place : une circonférence en grillage sur laquelle on avait épinglé les photos de plusieurs dizaines de personnes injectées et malheureusement décédées, avec photo, dates précises (injection-effet, souvent très proches) et cause du décès. Nombre de visiteurs ont ainsi pu se rendre compte de la gravité sans pareille de ce poison que les labos, véritables associations de malfaiteurs agissant au nom du fric, veulent imposer. Vers 21 heures, des lumignons furent allumés devant les portraits des victimes.
Les règles que suivent les manifestants du samedi n'ont pas changé ; notamment, il ne saurait être question de sombrer dans le pessimisme et de faire preuve de tristesse face à la situation. Certes, la lecture des avis de décès des cobayes (rappelons que le pseudo-vaccin est toujours au stade expérimental) a suscité et suscite encore du dépit et/ou de la colère. Mais la joie, le partage et la convivialité restent les atouts des gens libres que nous sommes, adeptes des contacts humains dans ce qu'ils ont de chaleureux – et d'indispensables. Du coup, un repas partagé (et amplement partagé) était au programme. Même les monteurs du cinéma en plein air ont pu profiter des excellentes pêches apportées par un des membres du Collectif des Cordeliers, sans oublier les abricots, les entrées, salades, desserts et boissons variées.
Que les dirigeants de tout poil se le disent : nous ne lâcherons rien, les suspendu(e)s seront réintégrées avec les honneurs et leurs rémunérations seront versées et les coupables de cette vaste mascarade seront jugés. Nous sommes patients. Nous y arriverons.
(Photos : L. R. ; vidéo : Kalou)
