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100- Lutte contre les mesures politiques anti-covid en Vivarais

Témoignages

Cette page est un appel à témoigner : les gens empêchés de travailler, les gens qui ont eu à pâtir de tout ce grand b... organisé – et leur façon d'y remédier, etc. Écrivez, écrivez... Dites ce que vous avez vécu, ce que vous avez ressenti, parlez de vos réactions, faites de la prose, des vers, peu importe... Exprimez-vous !

Pour obtenir plus d'infos sur cette initiative ou pour envoyer votre témoignage, utilisez la page Contact de ce site.


  1. Témoignages factuels – Des faits, bref : du vécu
  2. Témoignages littéraires – De la prose ou des vers pour dire ce qu'on ressent
  3. Les billets de Sandra – Les propos de Sandra, extraits du Peuple de l'Homme
  4. Section audio – Des mots entendus à la radio, sur la Toile, lors des rassemblements...

Témoignages factuels

Dauphine Libéré du 24 mars 2022 (publié le 11 juin 2022)


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100- DL du 24 mars 2022

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Laurence Kayser (Plume de Rêve) (publié le 9 mai 2022)


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(TÉMOIGNAGE TROUVÉ SUR FACE-DE-BOUC en provenance de Belgique)

Ceci est un message à l'attention toute particulière de mes patientes.

Mesdames, si vous souhaitez me garder à vos côtés, il va falloir se mobiliser un tantinet, j'en ai peur.

Je suis convoquée à l'ordre des médecins pour avoir dénoncé ceux de mes confrères qui refusent de soigner les patients Covid.

Je suis convoquée à l'ordre des médecins pour m'être révoltée contre la déshumanisation des soins de santé.

Je suis convoquée à l'ordre des médecins pour avoir dit combien il était dangereux de masquer les enfants et de les parentaliser face à une épidémie qui ne les concernait pas.

Je suis convoquée à l'ordre des médecins pour avoir encouragé l'immunité naturelle et l'avoir placée au-dessus de celle induite par les vaccins.

Je suis convoquée à l'ordre des médecins pour avoir dit que les injections anti-covid, comme tout autre traitement, ont des effets secondaires.

Je suis convoquée à l'ordre des médecins pour avoir défendu la science, la médecine de terrain, le dialogue, le droit de respirer librement, la fraternité et les liens humains.

Si vous ne voulez pas que demain, des soignants comme moi se retrouvent empêchés d'exercer, je vous demande de m'envoyer au plus vite vos messages de soutien, vos témoignages des soins reçus, vos déceptions face à certaines pratiques d'automatisation médicale, vos espoirs, vos envies, les rêves d'avenir pour vos enfants et tout ce que vous pensez des médecins comme moi. Malveillants, s'abstenir.

Je comparais le 18 mai prochain à la rue des Archers numéro 6, à 7000 Mons. Rendez-vous sur place à partir de 18h.

Si vous ne vous mobilisez pas avec moi, demain, on enterrera une certaine forme de médecine, sans fleurs ni couronnes, sachez-le...

Maintenant, il faut défendre nos enfants !

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Dauphine Libéré du 25 avril 2022 (publié le 1er mai 2022)


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100- DL du 22 avril 2022

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Dauphine Libéré du 22 avril 2022 (publié le 1er mai 2022)


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Bernard (publié le 11 mars 2022)


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Demain (samedi 12 mars) un rassemblement d'Amnesty International se tient à 10h00 sur la place des Cordeliers. Ce serait peut-être l'occasion, avec le groupe qui depuis deux ans déjà se bat pour la liberté, ici, en France, de préciser que combattre pour la liberté des autres c'est indispensable car la dictature et l'agression criminelle, quelles que puissent être les excuses (rôle de l'OTAN ou autre...), doivent être combattues partout.

Peut-être aussi serait-ce l'occasion de se demander où étaient depuis deux ans, ceux qui combattent aujourd'hui pour la liberté des autres, ailleurs, mais se pliaient devant la dictature, dans leur pays, annoncée par le passe prétendûment sanitaire quand d'autres combattaient déjà pour la liberté, ici... Les yeux doivent toujours rester ouverts, pas fermés pour certaines situations et ouverts pour d'autres.

Se défouler d’un côté quand on se refoule de l’autre ne fait pas très responsable ! On peut se demander si cette « distraction » sur la liberté ailleurs, ne tombe pas à pic pour éviter de trop creuser sur le combat pour les libertés ici, occultant la question du passe sanitaire, de la gestion sanitaire de la Covid, de la vaccination et de ses conséquences...

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R. G. (publié le 9 février 2022)


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Il s'agit d'un jeune de 22 ans, domicilié autour de Saint-Félicien ; crise cardiaque à l'hôpital d'Annonay. Réaction du médecin : aucun étonnement, pour lui c'est le « vaccin » car ce n'est pas le premier apparemment. Ce jeune va devoir vivre avec un défibrillateur (interne) toute sa vie. Tout commentaire supplémentaire est superflu.

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Frédérika (publié le 6 février 2022)


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(TEXTE LU SUR LES CORDELIERS LE SAMEDI 5 FÉVRIER 2022)

Je prends la parole ce matin, pour mettre un coup de projecteur sur les soignants suspendus, les devenus invisibles de la société.

Ils continuent le combat pour la liberté vaccinale. Nous avons créé des associations de soutien partout en France, ici aussi en Ardèche.

Certaines soignantes sont montées à Paris pour participer à une conférence dont voici le lien :r1,5- Lien

Je voudrais ici publiquement les remercier pour leur investissement, pour nous faire retrouver notre dignité et notre droit à travailler.

Merci Martine, Stéphanie, Pascal, Monique et toutes les autres !

Hier j'ai récupéré un don de nourriture offert par une personne gilet jaune de Chanas, des caisses entières, trop de caisses pour que je puisse les ramener sur cette place de notre Liberté. Venez me voir pour que nous puissions organiser et distribuer cette nourriture. ll y a du frais, des conserves de légumes, des pâtes, du riz, de la confiture...

Au sujet de la cagnotte, je voulais remercier les donateurs. Je suis toujours surprise et émue de recevoir vos dons. Il n'y a pas de petits dons, vous êtes toujours extrêmement généreux et ça m'émeut à chaque fois cet élan de générosité. Aujourd'hui, vous allez aider encore 5 personnes.

Au total, vous avez aidé 19 personnes. J'ai distribué 3000 €. Il reste 200 € dans la cagnotte.

Encore aujourd'hui, malgré les difficultés financières, les soignants me disent encore : « C'est compliqué, mais donne à quelqu'un d'autre qui a plus besoin que moi. Je me débrouillerai autrement ».

Des soignants devenus invisibles, qui se sacrifient encore pour leurs collègues...

Je voudrais leur dire que je suis fière de faire partie de ce groupe d'invisibles ! Je suis fière de notre lutte pour retrouver la Lumière, la Liberté de travailler ! Je suis fière et touchée de toute cette entraide qui se crée sur cette Place des Cœurs Déliés entre humains de toute catégorie.

Merci d'être là, je vous aime.

(VOUS POUVEZ ÉCOUTER STÉPHANIE ET FRÉDÉRIKA AUX CORDELIERS LE 5 FÉVRIER ICI : r1,5- Lien).

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Nathalie (publié le 1er février 2022)


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Mes deux enfants a une semaine d'intervalle ont chopé le truc en grande circulation.

Donc je contacte le collège.

Semaine 1 : « Pas vacciné donc retour au collège à J7 avec un test PCR ». Cas positif pour l'un, l'autre cas contact même enseigne !

Lundi 8h, retour impossible au collège car le test ne pouvant être réalisé le dimanche (j'ignorais à ce moment-là qu'à la clinique des Cévennes, il est possible de se faire tester le dimanche matin), bref lundi matin l'infirmière passe, réalise les tests pour mes 2 pillous, résultat à 20h00 par sms. Sauf que je ne peux pas imprimer les résultats car l'infirmière s'est trompée dans mon adresse mail (P.S. : je ne lui en veux nullement). Rebref...

Semaine 2 : Ce matin j'appelle le labo, il me fait parvenir les docs par mail. Entre temps je n'envoie pas mon fils au collège à 8h00, le temps de recevoir le sésame qui lui permet de retourner en cours. Il y va pour 9h00. J'appelle le collège pour signaler son absence de 8h00 à 9h00 et pour les informer que c'est au tour de ma fille d'être positive. Elle est en pleurs car elle attendait avec impatience de retrouver ses copines et sa vie de collège. Et puis mercredi elle avait son oral de brevet blanc. Réponse du collège : « Puisqu'elle n'est pas vaccinée et qu'on ne sait pas le début de sa contamination elle reprend pour 7 jours d'isolation. Il faut qu'elle comprenne qu'il faut relativiser, il y a en a qui ont dû passer le bac en septembre. Et puis ce n'est qu'un brevet blanc, il y a plus grave... ». Bah voyons en gros tant pis pour elle, faut qu'elle arrête de chouiner et c'est à moi sa mère de lui faire comprendre qu'il faut qu'elle relativise !!!

Je ne vous décrirai pas tous les vilains mots que j'ai envie de crier (en fait je l'ai fait à l'heure où j'écris ces mots).

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Philippe Guillemant (publié le 30 janvier 2022)


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(TÉMOIGNAGE TROUVÉ SUR FACE-DE-BOUCr1,5- Lien)

Mission accomplie.

Nous avons en effet réussi, trois volontaires (Laura, Nicolas et Marie-Agnès) et moi-même, à faire venir les gendarmes à un restaurant exigeant le passe et à avoir au préalable avec les serveurs, puis avec l’officier de police du 17, puis avec le patron du restaurant, et donc enfin avec lesdits gendarmes des discussions plutôt riches et cordiales, légèrement houleuses mais respectueuses, mais surtout révélatrices. Entre autres enseignements, tous se sont déclarés d’accord avec nous mais n’y pouvant rien, se considérant tous comme obligés d’appliquer le règlement, en l’occurrence refuser de nous servir pour les uns et nous verbaliser pour les autres.
Ce qu’il faut retenir : même lorsque tout le monde est d’accord qu’il est irrationnel, le règlement prime sur la conscience.

Le scénario s’est déroulé de la façon suivante. Nous avons tout d’abord atterri dans deux restaurants successivement dont nous pensions qu’ils exigeraient le passe, mais finalement ce n’était pas le cas ce samedi, ce qui s’est donc traduit par un double apéro mais bredouille. Le troisième restaurant testé était le bon (fief de la mairie paraît-il). Refus catégorique de nous servir. Avertissement que nous allions nous plaindre au 17 s’ils s’obstinaient à refuser. Confusion du staff plongé en pleine réflexion puis appel au téléphone du patron absent, discussion entre nous et ce dernier, qui finit par décider de ne pas nous servir. Nous appelons donc le 17, longue discussion avec l’officier de police qui refuse de nous envoyer une patrouille, considérant que c’est le patron du restaurant qui doit la demander et pas nous. Long temps d’attente pendant lequel on a cru qu’ils allaient nous servir, puis le patron décide enfin d’appeler les gendarmes, qui débarquent assez rapidement et avec lesquels nous avons une bonne discussion très calme et posée. Nous leur montrons nos papiers d’objecteurs de conscience vaguecino, Ils se déclarent plusieurs fois être en accord avec nous, ils saluent même notre initiative, mais se déclarent impuissants et n’ont qu’une obsession en tête, nous verbaliser, ce qui sera fait par la poste et sera suivi de ce que vous savez.

Tout a été enregistré en micro cravate et vidéo (un peu plus d'une heure), mais nous allons bien réfléchir avant d’éventuellement diffuser tout ou partie du contenu, l’objectif initial n’étant pas une diffusion publique (qui présente certains dangers), mais plutôt la création d’un souvenir de temps mémorables. Il y a eu en effet beaucoup de pépites dans cet enregistrement, comme par exemple l’officier déclarant « Oui, je suis un robot » après qu’on lui avait demandé s’il était un robot ou un humain. Je crois qu’avec plusieurs années de recul, cet enregistrement deviendra très révélateur de la folie qui régnait en 2022 sur la planète. Ne cherchez pas d’autre intérêt, même s’il en existe un à le rendre public, mais c’est à double tranchant. On verra ça plus tard. On vous demandera peut-être votre avis sur la base d’un contenu discret... ou plutôt furtif.

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Françoise (publié le 23 janvier 2022)


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Hier matin j'ai envoyé un mail, par le biais de mon espace, à « Soignez heureux » en précisant que c'était urgent. Dans à peine la demie-heure qui a suivi un médecin m'a téléphoné. Connection pour la consultation impossible en visio conférence, donc elle a eu lieu par téléphone. Médecin très agréable, à l'écoute et professionnel. Je recommande. Dans la seconde j'ai eu mon ordonnance par mail. Ensuite j'ai demandé qui connaissait une pharmacie où je pouvais me rendre. J'ai eu Vernosc trop loin de chez moi dans mon état. Je suis donc allée au plus près, la pharmacie X... (1)

Je déconseille fortement. J'ai eu le traitement, mais de justesse.

Le pharmacien n'a pas vu que c'était pour moi.

– Pourquoi cette personne a besoin d'azytromicine ?
– Pourquoi l'ivermectine, est-ce qu'elle a le COV ? Parce que des médecins délivrent ce médicament qui ne sert à rien.
– Ah oui ce sont des médecins étrangers (ce n'était pas le cas sur l'ordonnance), à part que sur l'en-tête il y a le logo de « Soignez heureux ».

Je lui est répondu plusieurs fois : « Je ne sais pas ».

Je n'ai pas riposté et j'ai mis mes poings dans les poches sinon je crois qu'il ne me l'aurait pas donné.

Pharmacie à éviter.

(1) Le visiteur quelque peu informé reconnaîtra aisément cette pharmacie ; elle n'en est pas à son premier accrochage avec l'un ou l'autre client qui refuse de filer droit. On a la réputation qu'on mérite...

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L. R. (publié le 22 janvier 2022)


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Vu sur le profil Face-de-Bouc d'une amie – qui me pardonnera cette publication, au demeurant parfaitement anonyme ici (d'ailleurs, je ne fais que rapporter ses propres mots, déjà visibles sur la Toile) :

« Bien qu'entièrement vaccinée et n'ayant vu personne depuis mardi dernier, la Covid est parvenue à me toucher. Je suis positive et donc en confinement. Je ne pourrai assurer l'atelier d'écriture, ni le Prix des prix, ces deux rendez-vous sont reportés respectivement au 17 et au 19 février. Désolée. »

Ça devient d'une banalité...

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L. R. (publié le 13 janvier 2022)


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70-

Extrait de « Valeurs mutualistes », la revue de la M.G.E.N. (Éducation nationale). La propagande continue. Je n'ai jamais lu la moindre ligne critique à l'égard du vaccin contre la grippe – malgré l'envoi à la rédaction de l'article du numéro 54 de la revue Santé-Corps-Espritr1,5- Lien. Quand on a lu cet article, il faut oser écrire : « Un vaccin efficace est disponible » ! Rien non plus concernant la gestion calamiteuse de la prétendue pandémie de ces deux dernières années. BigPharma s'est vraiment glissé partout...

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L. R. (publié le 11 janvier 2022)


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Ci-après, un courriel reçu ce jour.

« Bonjour à tous.

Compte-tenu de la situation sanitaire compliquée que nous vivons actuellement, il nous a semblé peu raisonnable de maintenir notre sortie au restaurant le 5 février prochain.

En effet, nous sommes 29 à avoir répondu favorablement à ces retrouvailles ; or un repas à 29 personnes, non masquées, dans une salle fermée est une prise de risque non négligeable. C'est évidemment avec beaucoup de déception que nous prenons cette décision, mais pour en avoir discuté avec quelques-uns d'entre vous, elle semble plus sage !

Mais restons positifs, nous avons tous envie de nous retrouver, alors ce n'est que partie remise... Nous allons laisser passer cette vilaine vague Omicron et nous vous proposons de reporter ce repas au samedi 26 mars, en espérant que cette fois sera la bonne. »

Voilà qui m'inspire quelques remarques...

1. Où est la « situation sanitaire compliquée que nous vivons actuellement » ? Perso, je ne vis aucune situation sanitaire compliquée ; par contre, ça pourrait être une situation sociale compliquée si je me prenais la tête avec les décisions de ce gouvernement de malades (chose que j'évite de faire).

2. « ... un repas à 29 personnes, non masquées, dans une salle fermée est une prise de risque non négligeable ». Ah bon... Et si on gardait les bâillons pour manger ? Comment ? Ce n'est pas une bonne idée ? Et dresser la table dehors peut-être ? Non plus ? Bon sang, si ces prétendues précautions avaient été de mise pour la moindre épidémie jusqu'en 2020, il y a bien longtemps que les restaurateurs auraient mis la clé sous la porte !

3. « Nous allons laisser passer cette vilaine vague Omicron » : vilain Omicron, qui donne un bon rhume...

4. Dois-je préciser que je n'avais pas répondu favorablement à cette invitation puisque je n'ai pas de passeport franco-français. Et croyez bien que je ne le regrette pas le moins du monde.

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Bernard (publié le 10 janvier 2022)


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(TÉMOIGNAGE TRANSMIS PAR BERNARD ET TROUVÉ SUR LA TOILE)

Nils Passedat, maire de Lavaurette (Tarn-et-Garonne), mécontent des propos présidentiels sur l'« envie d’emmerder les non-vaccinés » a décroché le portrait de Macron de sa mairie pour le restituer à la préfète et l'a remplacé par la Déclaration universelle des droits de l’homme de 1789.

" Étant donné que des citoyens ont été insultés par celui-là même qui a le devoir de les servir, nous avons décidé de vous retourner son portrait que vous pourrez avantageusement recycler dans les latrines de la République.

J’estime que de tels propos dans la bouche du chef de l’État insultent à la fois une partie de ces Français concernés et d’autre part la fonction présidentielle.

Ce portrait sera remplacé par la Déclaration universelle des droits de l’homme et du citoyen de 1789 qui, dans son article premier, affirme que tous les citoyens naissent et demeurent libres et égaux en droit. »

La présence en mairie du portrait du chef de l’État relève d’une tradition et non d’une obligation.

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B. C. (publié le 10 janvier 2022)


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J'ai un copain à Nîmes né en période de guerre au Vietnam d'un père militaire français et d'une mère vietnamienne. À 45 ans il avait le cœur d'un vieillard. 3 fois qu'on lui change sa pile, la dernière pas très bien réglée. Il ne se sentait pas très bien. Le cardiologue ne règle pas le problème. Il veut prendre rendez-vous dernièrement aux Franciscaines à Nîmes, juste pour le réglage mais on ne vous donne pas de rendez-vous sans la vaccination Covid-19. Il cède. Il n'en voulait vraiment pas mais sachant que sans la pile il meurt... Résultat : vives douleurs, radio, analyses : rien. Brûlures et au final le vaccin lui a provoqué un zona.

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A... (publié le 8 janvier 2022)


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Quiconque peut changer s'il s'éveille un jour. Je propose qu'on fasse une collecte pour acheter un gros, gros, très gros, très très groooos réveil au peuple français ! Aux armes NON citoyens !

Nous avons aux manettes du pays un MPN (1) et se sortir des griffes d'un tel personnage c'est très long. Ces gens là arrivent à se faire adorer de leur bourreau, ils arrivent même à faire passer la victime pour un bourreau.

(1) Manipulateur-Pervers-Narcissique

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L. R. (publié le 31 décembre 2021)


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30- Outre les habituelles niaiseries de la propagande covidiste, on peut lire ceci (image de gauche) tout en bas d'une affiche à la gare routière d'Annonay. La bonne nouvelle, à lire cette information, c'est qu'à partir du 24 janvier 2022, on va pouvoir festoyer dans les bus et dans les cars. J'invite donc les voyageurs à apporter, 30- dès la date susdite : en-cas, sandwiches, pizzas, bouteilles diverses et variées, cannettes de bière et, pourquoi pas pour les plus fortunés, champagne. Il faut fêter ça, d'autant que pour manger et boire, les passagers auront à cœur d'enlever leur bâillon. À votre santé et bon appétit !

Autre affiche (image de droite). Comme de coutume, aucune référence, aucun chiffre (n'y aurait-il pas ou peu de cas à l'hôpital d'Annonay ?), aucune source. De plus, je vois mal le lien avec... les transports urbains. Chauffeurs malades ? Prétendus risques de contamination ? La bestiole aurait-elle développé un variant qui s'attaque aux moteurs diesels ? Qu'importe, tant les gens sont prêts à tout gober.

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A... (publié le 26 décembre 2021)


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(Il s'agit d'un échange de textos)

Bon.. Je suis désolée mais il vaut mieux que j'annule ma venue mardi.

J'avais oublié que tu n'es pas vaccinée et après conseils auprès de mon beau-frère toubib, même si j'ai reçu les 3 doses... c'est prendre des risques. Et puis je ne me vois pas garder mon masque chez toi.

On va repousser notre rencontre à des jours meilleurs.

Bises.

Note du compilateur : ce passage n'est qu'un court extrait de la conversation entre ces deux personnes ; j'ai eu accès à l'intégralité des échanges, malheureusement je n'ai pas eu l'autorisation de tout publier. C'est dommage à lire ce passage car le reste est à l'avenant...

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M. F. (publié le 13 décembre 2021)


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J’ai accompagné ma mère au cabinet du médecin généraliste M. K... et je souhaite vous relater les faits suivants :

– Nous nous sommes présentées à l’ouverture du cabinet médical de M. K... pour arriver en premier (ce qui fut le cas) et M. K... nous a accueillies sans problème.
- M. K... a effectué une consultation et une auscultation de Mme R... en lui demandant, pour finir, si elle était vaccinée et pourquoi elle ne voulait pas l’être puisque qu’elle avait répondu non.
- L’auscultation terminée, Mme R... a demandé s’il était possible d’effectuer un test de recherche des anticorps Covid19 dans l’analyse de sang à prescrire.
- M. K... a répondu que c’était inutile.
- J’ai demandé pourquoi elle ne pouvait pas avoir ce test afin de connaître sa situation immunitaire.
- M. K... a réitéré l’inutilité d’un tel examen et a fini par indiquer qu’il accepterait de prescrire cette analyse de recherche d’anticorps si Mme R... se faisait vacciner !
- Mme R... ayant répondu non, M. K... a brutalement décidé de mettre fin à la consultation en disant : « On arrête là » et nous a indiqué la sortie en prétextant qu’il avait le droit de refuser des patients !

Je suis atterrée par cette CONDUITE INQUALIFIABLE de la part d’un médecin qui doit, il me semble, soigner sans aucun jugement, ni contrainte. S’il estimait être dans l’obligation de refuser des patients parce qu’il en avait déjà trop, il devait le dire tout de suite !

Vous pouvez retrouver le texte intégral du courrier envoyé par M. F. à l'Ordre National des Médecins ICI :r1,5-

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Roger (publié le 13 décembre 2021)


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Témoignage d'une aide soignante éjectée puisque non injectée.

« Bonjour, je viens de voir une collègue AS. La situation à l'EHPAD est bien pire que je le pensais. En fait il y a eu 9 décès au A sur 32 résidents en 1 mois seulement. Du jamais vu ! Les symptômes sont arrêts cardiaques ou troubles respi. 2 AS sont positives et arrêtées. Ma collègue XXXXX a retrouvé 3 morts dimanche matin et est en état de choc. Le directeur demande de remettre la visière et met en place une cellule psychologique de soutien pour les soignants qui sont à bout et qui commencent à se demander si l'association de la 3e dose à celle du vax contre la grippe n'est pas liée... »

Pour ce témoignage, j'ai essayé d'avoir plus de détail, voilà la réponse : « Mon amie a bossé dans un EHPAD en Isère, mais je ne peux vraiment rien dire d'autre, car il ne faut pas qu'elle ait des soucis. C'est à ses collègues encore en activité de faire quelque chose et visiblement elles ne comptent rien faire. ». Visiblement la France est un grand pays démocratique !!!

Autres cas :

– une dame : Creutzfeldt Jakob. Début des symptômes : 15 jours après la deuxième dose Pfizer.

– une dame de plus de 60 ans : zona dans les 7 jours suivant l'injection ; elle va voir son médecin pour lui demander de faire remonter l'effet indésirable, le médecin ne le fait pas mais lui explique que du zona il en voit beaucoup.

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Docteur P. B., canton de Vaud (Suisse) (publié le 11 décembre 2021)


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(TÉMOIGNAGE TROUVÉ SUR LA TOILE)

Censure

Nos autorités sanitaires cantonales interdisent désormais à tout médecin d'émettre la moindre critique sur la vaccination contre le Covid qui pourrait décourager ses patients à se faire vacciner, sous peine de sanctions (CHF 20 000 d'amende, voire retrait du droit de pratique).

Force est de constater que nous sommes entrés dans une période où nos libertés fondamentales, et en particulier notre liberté d'expression, sont sévèrement réprimées. En politique, cela s'appelle une dictature ; en sciences, une position dogmatique.

Sachez que je ne renoncerai pas à expliquer, à celles et ceux qui le souhaitent, les raisons qui me poussent à renoncer à cette vaccination. Sachez également que je respecte le choix des personnes vaccinées et attends en retour le même respect pour celles qui ne le sont pas.

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B. C. (publié le 10 décembre 2021)


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Expérience ce matin, petite collation que je voulais déguster sur place au Super U. Je m'assois. La gentille voix féminine m'interpelle. « Vous avez un pass sanitaire... ? Vous ne pouvez pas consommer ». Beau soleil, j'ai pique-niqué à l'arrière de ma camionnette !!!

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Delphine (publié le 25 novembre 2021)


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(Il s'agit d'un échange de textos)

– Bonjour j'ai bien eu votre réponse... Je voulais savoir si nous pouvons faire le marché avec un auto test salivaire négatif. Ce problème de pass nous dérange beaucoup ! Nous avons trouvé 2 marchés sans toutes ces contraintes. Mon conjoint n'est pas là mais je vous donne une réponse définitive en début d'aprem si ok pour vous ? Merci beaucoup.

– Comme le marché est à l'intérieur nous sommes dans l'obligation de contrôler le pass sanitaire sur format papier ou numérique. Le problème c'est qu'avec un auto test nous n'aurons pas ce code. Il faudrait un test salivaire en laboratoire de moins de 72 heures. Je comprends bien votre point de vue et je suis bien navré de devoir faire tout cela mais nous y sommes obligés. Tenez moi au courant. Bonne journée. Cordialement. Amicale laïque de Quintenas.

– Ok donc je vous donne ma réponse tout de suite : nous ne serons pas présents. Toutes ces « pseudo obligations » ne font pas partie de nos convictions les plus profondes et cela reste discriminatoire et divise les gens. C'est bien dommage que nous en soyons réduits à ça aujourd'hui. Nous sommes en dictature depuis quelque temps mais les gens continuent à rester aveugles... Tant pis. Merci quand même de m'avoir proposé la place, je sais que votre offre était bienveillante. Ce n'est pas contre vous. Merci à vous, bonne continuation.

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Réveil du Vivarais du 24 novembre 2021 (publié le 25 novembre 2021)


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100- Réveil du Vivarais du 24 novembre 2021

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D. B. (publié le 14 novembre 2021)


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Nous sommes confrontés avec mon compagnon qui vient de créer son entreprise à une succession de refus pour participer aux marchés de Noël de la région ! Le pass ou test PCR sont demandés partout ! Même en extérieur pour les exposants donc je suppose aussi pour les visiteurs ! Là je ne vois pas ce qu'on peut faire de plus, je ne ferai pas de test mais du coup cela a un impact direct sur son travail. Cela lui aurait permis de se faire connaître. Alors oui, je résisterai jusqu'au bout... Ils ne m'auront pas ! Mais tout ceci n'est pas juste !

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Élisabeth (publié le 12 novembre 2021)


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Hier après-midi j'avais l'intention de participer à une marche organisée. Seulement voilà, pass sanitaire exigé... Qu'à celà ne tienne, j'ai donc fait la marche toute seule le matin sans rien demander à personne. Et comme le hasard fait bien les choses, j'ai, chemin faisant, croisé une personne qui aidait à l'organisation de la marche. Je lui ai dit franchement que sans cette histoire de pass j'aurais fait la marche l'après midi en payant ma participation. Il était d'accord sur le fait que c'était débile de demander un pass pour un évènement en extérieur, mais que les organisateurs avaient quand même voulu l'imposer. Je lui ai dit qu'il pouvait faire part à ses collègues de mon « boycott » et que d'autres personnes avaient certainement pensé comme moi et gardé leur billet au fond de la poche... Dommage pour eux mais fallait y penser avant...

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S... (publié le 6 novembre 2021)


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(TÉMOIGNAGE n°1)

Ce qu'il faut savoir quand on va au Géant Casino de Davézieux... oui, je sais, je n'aurais pas dû y aller... c'est que quand vous ne portez pas le masque et bien la caissière en tout cas l'une d'entre elles (et une autre à côté avec le regard en mitraillette) appelle le vigile discrètement au téléphone. Donc vous dénonce auprès des forces compétentes (après m'avoir fait deux rappels). Bon, j'ai changé de caisse, le vigile m'a pas trouvée, si, si... Mais je suis allée voir la caissière après pour lui demander quel monde elle souhaitait pour ses enfants. Après l'avoir remerciée de m'avoir dénoncée, je lui ai parlé de train et de ceux qui avaient dit : « J'ai juste obéi aux ordres. » Juste pour info, je n'avais même pas quitté le masque, il était juste positionné en dessous de ma bouche pour que l'on voit mon sourire...

(TÉMOIGNAGE n°2)

Une clinique privée à Lyon et c'est de source sûre, un ami m'a relaté sa situation. Cette clinique privée dont il ne m'a pas donné le nom n'accepte pas les gens qui ne sont pas vaccinés. C'est même pas le pass de 48h, c'est qu'ils ne soignent pas les personnes non vaccinées. Le médecin qui tient cette clinique est pro vaccin et du coup se sent légitime d'interdire aux non-vaccinés l'accès à ses soins très demandés car il est très renommé. L'ami du coup s'est fait vacciner.

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Elsa (publié le 3 novembre 2021)


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Petit témoignage de ma rentrée où je me suis retrouvée la seule non « vaccinée » des quatre classes de BTS tourisme.

Première question à la classe de ma prof principale : « Qui n'est pas vaccinée ? ». J'ai levé la main. À la fin du cours, elle m'a demandé ce que je comptais faire pour les sorties et le voyage en Italie, qui serait impossible à faire avec des tests PCR pour la prof, voulant me pousser à la vaccination. J'ai dit que j'étais contre ces injections et les tests PCR, et lui ai demandé si cela aurait des conséquences pour mes études, je voulais le savoir tout de suite car j'étais prête à tout arrêter. Elle m'a dit que non.

Après une semaine de cours une sortie était programmée en bateau sur le Rhône. La prof m'a dit que je devais attendre le retour des quatre classes sur le quai. Pas de problème pour moi, car en aucun cas j'aurais fait un test pour faire du bateau. Quand tout le monde était dans le bateau, j'ai vu les profs qui me regardaient et discutaient. Et ma prof principale est redescendue pour venir me chercher et m'a fait monter sans « pass » dans le bateau. Elle m'a dit qu'elle en etait pas fière... mais je me suis permise de lui dire que moi j'étais fière d'elle. Comme quoi résister, ne pas céder à la pression est possible. Depuis je n'ai aucun souci dans mon établissement, tout se passe bien.

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D... (publié le 2 novembre 2021)


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(TÉMOIGNAGE TROUVÉ SUR LA TOILE)

Le premier jour du reste de ma vie…

Voilà, après plus de 20 ans passés dans le service public, je quitte le CHU.

Comment en suis-je arrivé là ?

Études de medecine débutées en 1992 à Rouen, internat debuté en 1998 à Rouen, chef de clinique, puis praticien hospitalier, puis maître de conférence des universités associées et enfin professeur des universités-praticien hospitalier et chef de service, le tout au CHU de Rouen.

De nombreuses années à donner beaucoup de mon temps, sans compter, avec pour objectif de toujours faire le mieux possible pour les patients, innover, être disponible pour les patients et pour l’équipe avec laquelle je travaille au quotidien.

Mais voilà, tout au long de ces années, et surtout ces cinq dernières années, de nombreuses décisions prises en depit du bon sens et sans tenir compte de l’avis des gens de terrain, c’est-à-dire les soignants, décisions cautionnées par des médecins aimant être proches des directions (peut être pour asseoir leur pouvoir), ont conduit à rendre notre quotidien de plus en plus difficile. Ces décisions prises grâce ou à cause de tableurs Excel qui ne tiennent évidemment pas compte du facteur humain et de la souplesse dont il faut faire preuve chaque jour dans une discipline qui est la mienne (la chirurgie cardiaque) qui doit faire face à 25% d’urgences dans son quotidien. Décisions qui ne tiennent pas compte des alertes émises par les gens de terrain sur les dysfonctionnements que cela risque d’engendrer sur le personnel soignant donc indirectement sur le soin.

Et finalement, le pire est peut-être l’ignorance consciente ou encore le mepris envers le chef de service que j’ai été qui n’a fait qu’alerter les instances des difficultés de sa discipline et demandé une réflexion globale sur les solutions à apporter ; solutions bloquées par certains docteurs et par l’administration par pure idéologie et par peur des idées innovantes.

C’est évidemment le cœur lourd que je quitte cet endroit qui m’a apporté beaucoup bien sûr mais auquel j’ai aussi beaucoup donné. Il faut redonner la place au soin, redonner la parole aux soignants, qu’ils soient non plus écoutés mais surtout entendus.

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V... (publié le 2 novembre 2021)


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Il s'agit de deux personnes (symptômes post-vaccination) :

– une femme de 59 ans qui après sa deuxième dose a eu les symptômes suivants durant deux semaines : maux de tête, vomissements, respiration difficile, nez bouché, spasmes, perte d’équilibre (jambes qui ne portent plus), douleurs diffuses sur tout le corps.

– un homme de 32 ans : migraines, étourdissements, jambes comme paralysées, respiration difficile, douleurs diverses.

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D. R. (publié le 8 octobre 2021)


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Ma petite fille, 22 ans, habitant Saint-Laurent-du-Var, a vu son emploi suspendu, non par son employeur, mais ne pouvant franchir, faute de passe sanitaire, les limites du complexe commercial Cap 3000, à côté de Nice. Mon fils s'est porté auprès du tribunal des prudhommes. Il attend le jugement.

Ajout du 11 octobre : mon fils vient de m'apprendre que le passe sanitaire n'est plus exigé à Cap 3000, ni à Carrefour Antibes suite au recours d'un avocat.

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L. R. (publié le 7 octobre 2021)


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C'était en 2020, probablement au printemps. J'entre dans certain magasin, le bâillon sous le menton. Évidemment, on me fait des remarques et plusieurs clients (je lis la peur dans leurs yeux) me regardent étrangement. Le lendemain, de retour sur les lieux, j'apprends d'un responsable que peu après mon départ, les gendarmes ont déboulé, alertés par ces bons citoyens qui n'ont pas hésité à dénoncer l'insolent qui osait déambuler sans ce masque grotesque. Tout est dit. En voilà que je n'aurais pas aimé avoir comme voisin à une autre époque – pas davantage en 2021, finalement.

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Vincent (publié le 6 octobre 2021)


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Depuis le 1er septembre 2021, dans le milieu de la restauration un pass sanitaire doit obligatoirement être présenté pour avoir le droit d’accéder à son poste de travail, ne voulant ni faire un test PCR (à réaliser tout les 3 jours) ou d’injections d’un produit en expérimentation, je me retrouve donc sans salaire et avec des réponses fermées et tardives de ma direction pour trouver une solution pour sortir de cette absurdité. Par principe, je ne souhaite pas démissionner car je donnerai raison à la direction et à ce gouvernement, j’ai donc fait la demande à la direction toujours sans réponse à ce jour (depuis 10 jours) d’une rupture conventionnelle de contrat…

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Témoignages littéraires

B. C. (publié le 18 mai 2022)


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La plus grande des prisons, c'est celle que tu ignores, celle qui est si grosse, si évidente et si imposante qu'elle en devient invisible.

La pire des prisons, c'est celle qui se fait si séduisante ou inexistante en apparence, mais qui nous foudroie dans le dos.

La plus grande des prisons est celle qui joue avec nos illusions pour nous faire croire ce qu'elle n'est pas, dans le but de perdurer en tant qu'entité, qui si nous étions conscients de ses faits et agissements, serait instantanément fragilisée et détruite.

La plus grande des prisons n'en est plus une là où il y a éveil, réveil, connaissance de soi et du monde qui nous entoure.

La plus grande des prisons n'est plus lorsque nous nous réalisons son existence et cernons ses rouages.

Et la liberté d'être et de penser passe essentiellement par cette prise de conscience.

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B. C. (publié le 17 mars 2022)


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J'ai voté pseudo-choix. Mais le changement serait de vider tous les très hauts fonctionnaires dans tous les ministères. Impossible actuellement, 90 % de la population dans une marmite pleine d'eau qui se réchauffe. C'est l'ébullition. Ils auraient pu sortir à 37 degrés. Ils se sont endormis. Trop bon de se réchauffer dans le bain des certitudes. Ça chauffe encore, mais on suffoque, on se brûle. Merde alors, les flammes de l'enfer macroniste étaient dirigées sur le fond de la marmite. Eh oui, il y a le couvercle médiatique, et le couvercle renforcé par une corruption sans précédent, mondiale qui plus est, organisée depuis très très longtemps. Les experts sont au bon endroit et les citoyens collés comme des mouches face à l'écran cathodique. C'est une fenêtre cet écran-là qu'ils ne veulent pas ouvrir.

Confort, confort, ne cherchez pas à l'extérieur les réponses, on vous les sert sur un plateau. Y'a même une p'tite bière sur le plateau. La p'tite bière fournie par les pompes FUNÈBRES. Ça aussi ça fait rentrer des taxes. Un p'tit ver et des asticots. Je prendrai bien les 2 Jupiter pour vous faire disparaître.

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Aux Cordeliers (publié le 5 mars 2022)


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40-

Bonjour mon frère, aujourd'hui j'vais te parler des galères,
J'me dis qu'après tout, chacun voit midi à sa porte et que l'important c'est que tout le monde s'en sorte,

J'chuis pas devin, j'chuis pas médium, mais si chacun comprend son prochain, alors on pourra aller plus loin,

Moi j'chuis patriote, mon drapeau c'est ma vie, c'est mes racines,
Moi j'chuis humaniste, y'a qu'un pays c'est la Terre, unanime,
Moi j'chuis père de famille, y'a que le pain pour mes enfants qui m'anime,
Moi j'chuis maire du village, je veux la paix dans tous les voisinages,
Moi j'chuis toubib, on me dis de piquer, j'le fais pour la santé,
Moi j'chuis immigré, j'ai quitté femme et enfants pour leur donner de l'argent,
Moi j'chuis suspendu, j'avais pas le choix, je suis convaincu,
Moi j'chuis commerçant, j'accepte le pass, j'fais mon business avec ou sans,
Moi j'chuis chômeur, intermittent, un CCD, une indemnité, c'est toujours ça de gagné,
Moi j'chuis étudiants, j'veux réussir, mais le système est chiant,
Moi j'chuis un vieux qui croupit dans une EHPAD pourri,
Moi j'chuis un enfant, qui obéit pour garder mon temps d'écran,
Moi j'chuis enseignant alors j'apprends à être obéissant,
Moi j'chuis un leader, un peu de lumière ça chauffe le cœur,

J'chuis pas chanteur, j'chuis pas rappeur, mais je sais qu'un refrain pourrait porter ces belles paroles,

Allez, tous en chœur, chantons le rap de nos rancœurs... Tous frères et sœurs,
Restons Unis... et tant pis pour les trolls.

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B. C. (publié le 2 février 2022)


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La France, lampe à pétrole du monde occidental, oriental, du Nord au Sud, sur tous les méridiens. France terre de douceurs et de romantisme, regarde, écoute, ce sont les autres pays qui nous prennent en pitié. C'est incroyable. Notre pays ne s'en prend pas plein la gueule, mais, nous on peut se reprocher d'avoir vu naître un monstre. Heureusement avant les é/l/rections pestilentielles, Manu, tu prends la direction de la présidence européenne (heureusement que notre tour n'est pas après les élections). Car en ce moment, Manu, tu n'es pas devant nos assemblées qui sont à ta botte. Tu as dû leur montrer que tu avais un dossier peu reluisant sur chaque élu, ou ministre. Certains jamais élus. Mais non, c'est l'Assemblée européenne. Manu tu te rends compte, t'as les projecteurs qui t'aveuglent, tu es en première ligne et si après ça tu ne démissionnes pas en faisant acte de contrition, c'est que tu es un monstre et que tu le resteras. Hitler sans la moustache, etc. Reste stoïque, si tu n'es pas un monstre ta conscience va te rattraper. Et ce sera les morts et les survivants mutilés, humiliés, bâillonnnés qui vont chaque nuit t'assaillir. Tu joues avec le feu, Manu, c'est ton enfer que tu as créé où tu vas te consumer et disparaître... Compassion, Manu, mais pardon, jamais.

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Roger (publié le 29 janvier 2022)


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Je viens vous présenter mes excuses pour avoir douté de l’efficacité des injections.

Oui je m'en veux d'avoir douté mais c'est aussi un peu la faute à Pfizer et à sa modestie. Pensez donc, Pfizer affirme que sa potion est efficace à 92% sur une maladie dont 99,5% de la population guérit.

C'est assurément une erreur de marketing, alors que Pfizer aurait pu annoncer que sa potion était efficace à 92% pour résoudre tous les problèmes de l'humanité en une génération.

En effet Sandra a évoqué ici même (note du compilateur : sur la place des Cordeliers) les problèmes de menstruation des femmes suite aux injections,

De mon côté je viens d'apprendre par des médecins des problèmes d’érection surgissant suite aux injections.

Si vous mettez bout à bout ces deux phénomènes, si j'ose m’exprimer ainsi, vous pouvez clairement voir que les injections sont susceptibles de résoudre tous les problèmes de l'humanité en une génération.

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F. L. (publié le 8 janvier 2022)


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(COURRIEL ENVOYÉ LE 7 JANVIER À PLUSIEURS SÉNATEURS)

Mesdames et Messieurs les Sénateurs,

Je m’adresse à vous en espérant que vous soyez ENCORE dotés d’une âme libre et éclairée et non dirigée par des esprits machiavéliques dirigés eux-mêmes par une poignée d’êtres sans âmes qui ont instauré un plan depuis des décennies, voire des siècles (référez-vous à l’histoire, la VRAIE, et non aux livres d’école).

Je souhaite que vous ayez gardé en mémoire les textes et lois des droits de l’homme et du citoyen, ainsi que le serment d’Hippocrate qui aujourd’hui sont bafoués, piétinés, humiliés... par des hommes sans foi ni loi.

Nous sommes en guerre, la gestapo, les délations, l’apartheid... et bien d’autres actes machiavéliques sont en place.

Je souhaite que votre âme ne soit pas déjà atteinte par la pensée unique de ce pouvoir fasciste, oui je dis bien fasciste, de ces pervers narcissiques qui obéissent à une poignée d’hommes dont leur plan est à ciel ouvert depuis 2 ans.

J’ai dans l’espoir que vous ne fassiez pas partie de cette caste, car sachez que les hommes dotés d’une âme seront dans la lumière et les autres dans les ténèbres.

L’avenir de l’homme, de nos enfants, de VOS enfants commence entre vos mains. Sachez en faire un avenir d’hommes responsables et capables d’aimer son prochain et non d’obéir comme des robots à une pensée unique exempte de toute âme et de possibilité de penser.

Mesdames et Messieurs les Sénateurs je vous prie d’être à la hauteur de votre devoir, soit vous protégez votre peuple, en rejetant le pass-vaccinal et abrogeant le pass-sanitaire, soit vous obéissez à une poignée de pervers narcissiques. Ne vous laissez pas influencer et guider par la peur. Ne vendez pas votre ÂME au diable. Conduisez-vous en êtres responsables et dignes de votre fonction.

En tout temps la lumière a toujours vaincu les ténèbres, soyez-en certain, le passé nous l’a prouvé.

Que la lumière soit en vous et guide vos pas.

Je vous prie de croire, Mesdames et Messieurs les Sénateurs, à l’expression de mes sentiments les plus respectueux.

L. F., Résistante

Peut-être êtes-vous au courant de tout ce qui se trame mais il est de mon devoir en tant que mamie responsable de vous le rappeler.

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A. L. (publié le 4 décembre 2022)


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Par nature plutôt optimiste, j’ai hésité cette fois à vous souhaiter mes vœux pour...2023 !

Nous en sommes à un stade aujourd’hui où l’avenir pour notre vie libre, et notre santé, est plus qu’incertain.

Que l’un d’entre nous, en parlant avec des amis se hasarde à parler un peu de « maladie » ou de « médicaments » il pourrait très vite être attaqué pour exercice illégal de la médecine.

Et pourtant aujourd’hui nos politiciens actifs n’hésitent pas à faire eux-mêmes de la médecine (à grands renforts de médias tremblants devant eux) et à aller jusqu’à interdire aux médecins d’en faire si ceux-ci ne sont pas dans leur « ligne de conduite ». Mais nous conduire où ???

La médecine d’aujourd’hui ne serait-elle donc qu’un souci d’empocher quelques « ristournes » sur des prescriptions « à la mode » tout en procédant soigneusement à la destruction méthodique des nos hôpitaux publics ???

Sans omettre de nous inonder de plus en plus de rayonnements électromagnétiques puissants et toxiques... Pas de chichi, faut faire bonne mesure.

D’autres plus habilités, que moi résument cela très bien, par la voie de l’un d’entre eux : « C’est l’alliance de l’incompétence et de l’arrogance ».

Mes vœux cette année vont donc dans le sens d’une alerte très forte sur notre réveil à tous face à cette situation « antihumaine » plus qu’alarmante.

Bon courage à tous et une bonne année 2022 autant que faire se peut. À chacun tout ce qu’il souhaite de meilleur.

(Si la lecture de cet article pose problème sur un téléphone, utilisez votre écran dans sa largeur)
70-

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Frédérika (publié le 26 décembre 2021)


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30-

Ça c'était le monde d'avant...
Quand j'étais infirmière
Petits cadeaux hier
Partagés avec les collègues soignants
Une page s'est tournée
Un nouveau chemin est né
Entrer en résistance
Contre la gouvernance
Entrer en résilience
Créer un monde de bienveillance
Un monde lumineux.

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Stéphanie (publié le 21 décembre 2021)


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Voici un petit texte écrit la semaine dernière... Je renoue avec les mots sur les maux... Pour une belle terre'happy !

Je vogue à contre courant
Mais jamais à contre cœur
En dépit de tous les vents
Qui veulent éteindre d'autres ailleurs

Libre de mes pas de danse
Qu'importe leurs mélos dits
Légère, je reste en cohérence
Même dans tous leurs interdits

Voulant me faire perdre raison
En m'enfermant dans leurs prisons
Je n'en reste pas moins musicienne
Que chante mon âme souveraine

Rêves de cœurs à l'unisson
De rires en Joies dans un frisson
Nos différences reconnectées
C'est l'énergie de l'humanité.

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Stéphanie (publié le 20 décembre 2021)


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Le monde est fou... Et presque tout le monde s'en fout !

Petites réflexions matinales, ça fait pas de mal...

Je me disais : « Tiens, si j'avais renversé le bureau de mon directeur le 14/09, je serai suspendue AVEC salaire à c't'heure !
J'aurais même eu la chance de partir avec une prime de licenciement, alors que là, je suis toujours sans sous et en suspens ! »

J'avais pourtant l'impression de protéger les « usagers » cet été... car tous les 3 jours je me faisais tester...
Serais-je à devenue ce point déraisonnable ? Alors que durant la première vague mon action était soi-disant si louable !

Rien à faire d'ailleurs d'être récompensée... Je savais très bien qu'avec la prime vous cherchiez déjà à nous acheter...

Ça fait longtemps que je ne m'y retrouve plus dans vos Valeurs.
J'aurais du claquer la porte avant... et aller construire ailleurs...

Aujourd'hui j'entends que les « collègues » y vont... Même positifs !
Alors que moi je suis à la maison, avec mon résultat qui est négatif...

Y a des pays où on t'offre une bonne gâterie pour que tu prennes ta dose...
T'as même le choix de la « fille »,
Suffit que tu fasses la queue dans la file !
Moi, de voir toutes ces saloperies
Ça m'fait plutôt frôler l'overdose...

Je peux même plus aller chercher de quoi lire à la bibliothèque.
Ils ont peur sans doute qu'avec mes idées, les bouquins, je les infecte !
À moins que ce soit pour me forcer à regarder la télévision
Pour que je me foute bien dans la tête que tout le monde va mourir de cette grande con'tagion

Bientôt, ils me mettront en prison
et faudra même que je paye la pension...
Finalement, celui qui tue son épouse (*)
Aura son procès dans bien longtemps,
Ben voui, la priorité va à ceux qui refusent la vax'ination !

Que d'incohérences dans ce monde de déchéance...
Si ton vax est russe, t'es pas considéré vax dans ce pays...
La réciproque est d'ailleurs valable aussi...
Avec tout ça, je me suis mise en quête de rechercher le bon sens !
Si on s'y met tous, de le retrouver on a des chances !

J'ai depuis un moment perdu mes illusions...
Avoir cru qu'on voulait dignement soigner et accompagner nos aînés
Alors même qu'on faisait à beaucoup du chantage pour qu'ils se fassent injecter...
Privés de sortie, privés de visite, t'as compris mon vieux ? Vaut mieux que j'te pique !
Bravo à ceux-là ! En effet, vous respectez et prenez soin du grand âge ! Le serment d'Hypocrite est devenu votre nouvel habillage...

Quand à nos enfants, ça me fait toujours pleurer d'y penser...
Les avoir enfermés durant les récréations dans des cages...
Les empêcher de respirer et les traiter de machines à tuer leurs aînés...
Avoir instillé en eux la peur,
Et maintenant vouloir leur faire injecter votre infâme breuvage ?

J'ai si mal à mes enfants
Qui veulent rester terrés dedans plutôt que sortir.
Ben oui, maintenant ils ont peur de faire mourir !
Pendant que les grands de ce monde font la fête à tout va
Faisant fi des gestes barrières et de tout ce qu'ils nous imposent là...

Alors aujourd'hui, on va se le construire le monde dont on rêve depuis si longtemps...
Je VŒUX voir rire tous nos enfants
Les voir sourire avec toutes leurs dents !
J'en peux plus de leur raison qui crève... Je vœux enfin, entre nous tous, remettre le glaive !
Relevons nos manches et renversons les règles absurdes de leurs tendances.
Il en est assez de la folie de cette gouvernance.
Je garde espoir en tout ce qui « fée » toujours notre humanité.
L'Âmour, la joie, le partage et la solidarité.
Osons unir toutes nos forces et valeurs,
Osons planter ces graines d'Âmour en vrais semeurs !
Merci à vous de n'être jamais las et toujours là...
Et continuons ensemble notre élan sur cette voie ✨💝✨

(*) Plus d'une centaine de femmes sont décédées ainsi en France rien que cette année... Mais ça, ça passe inaperçu.

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Stéphanie (publié le 20 novembre 2021)


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Monsieur le Méprisant de la République

Je te remercie d'avoir sonné le glas
De tant de soignants déjà trop las
En imposant ta thérapie génique
Ce 15 septembre, date que tu veux fatidique...
Aujourd'hui, comme tant de soignants sans salaire
Relevant la tête, j'écoute mon cœur et je marche fière !
Nous sommes devenus, pour beaucoup, les invisibles...
Mais sache qu'au fond de nous, nous sommes surtout invincibles.
Tu m'as ouvert grands les yeux sur les valeurs humaines
Celles que tu piétines avec mépris et un soupçon de haine
Sache que le serment de soigner et d'accompagner
Est un fondement de mon identité
Et que, quelques soient tes bâtons, tes barreaux de prison,
Pour mon prochain, j'aurai toujours de la compassion
Merci, tu me dégages de L'EHPAD et de l'hôpital public
Où sont désormais aux commandes le rendement et le fric
Je n'ai que faire de tous tes mauvais tours et mensonges
Je quitte ton système dans lequel je me ronge
Pour aller vers celles et ceux qui comme moi
Ont envie de Gai'Rire les autres dans l'Âmour et la Joie
Des pensées du cœur pour vous tous mes Âmis soignants
Nulle reconnaissance à attendre de ces pouvoirs arrogants
Restons unis et confiants dans ce qui fait notre Essence
Là où tendre une main, sourire et accompagner prend tout son sens
Rentrons en résistance et soyons ces rebelles
Pour qui prendre soin est un élan du cœur essentiel

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D. B.-M. (publié le 16 novembre 2021)


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Le suspendu

Suspendu haut et court
à la grand vergue de l'injustice
je suis parti sans un mot
comme puni, dans le silence
complice
de millions de dévots.
Pas de réconfort
Pas de feux d'artifice
Le cœur bien aussi lourd
qu'un camion de chantier.
Je suis parti sans au revoir
comme les pieds devant
dans un cercueil d'indifférence.
Mes sentiment s'égarent et je ne suis plus sûr,
avec cette différence
de garder le cœur pur.
Continuer la vie, comme si
de rien n'était.
continuer d'aimer,
comme si de rien n'était.
comme si la mort sociale n'avait sur nous
aucuns effets
Comme si l'on pouvait se réjouir
de l'agonie de nos libertés ?
J'ai trouvé une réponse a ces angoisses
primitives
Un ballon d’oxygène
un peu de cette chaleur
et cette force vive
qui fait battre nos cœur.
Le samedi matin
place des cordeliers
C'est un bain d'amitié et où...
on parle de fraternité.

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Frédérika (publié le 16 novembre 2021)


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(TEXTE n°1)

Mettre des mots sur mes maux
Je suis virée de l’hosto, 31 ans de compétence
Perdue dans le silence des citoyens hypnotisés par les merdias et la télé,
Manipulés par la peur de choper le virus, de finir en Réa, asphyxiés,... au Terminus.
Toute une vie à panser, soigner, consoler, accompagner ces mêmes citoyens dans la maladie.
Hier applaudie, aujourd’hui trahie... J’ai rendu ma blouse, ma panoplie.
Vous ne voulez plus de moi, de mes mains de mon cœur,
Je pars, fière du travail accompli... Je saigne, je pleure à l’intérieur.
Le temps guérira mes blessures, Un peu de patience... J’en suis sûre.
Devenue sous citoyenne, car je ne suis pas covidienne.
Entrées refusées car non vaccinée...
Une vie apparemment limitée, avec moins de liberté.
Aller et venir comme bon me semble, dépenser
Un concert, un resto, admirer un tableau...
« Tu n’y penses pas ! Tu n’es pas vaccinée ! »
Tes amis te lâchent, car devenue « complotiste »
Tu n’as plus la même religion, ils sont covidistes.
Ma religion, l’Égalité, il faut se donner pour y arriver,
Transcender la peur pour y trouver un peu plus de bonheur.
Vivre en simplicité, dans une nouvelle fraternité,
De rencontres en partages,
De rires en voyages, ma nouvelle vie, mon nouvel Âge,
Les Cordeliers, l’Ancrage
Pour créer une société humaniste,
Où les mots : Liberté, Égalité, Fraternité
Prendraient enfin toute leur ampleur et leur saveur.

(TEXTE n°2)

En espérant que cette 3e dose
Ne soit pas votre overdose,
Que cette injection ne vous fasse pas
Passer de vie à trépas !
Réveillez-vous ! Je serai heureuse
De ne plus vous compter parmi les peureuses
Venez me rejoindre sur la place, joyeuses
Rencontrer cette nouvelle humanité
Que nous voulons créer !
Lâcher votre confort, votre canapé
Pour nous retrouver aux Cordeliers
Dernier rempart de la Liberté
Contre ce passeport franco français
En toute Fraternité

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Les billets de Sandra

Danser l'abandon (7 janvier 2023, Première Pleine Lune 23)


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Je m'abandonne. Tu t'abandonnes.
Nous nous abandonnons.
C'est un plaisir de s'abandonner
à s'abandonner, à t'abandonner,
ne plus rien attendre de toi, d'eux,
que me retrouver délassé de toi,
de moi, délaissé et tout lâcher.

Tu retrouves enfin ta vraie place,
après l'autre que j'avais trop donnée
qui s'est prise dans les filets, le tapis,
où je me mélangeais les pinceaux
à y enchevêtrer les lianes de nos liens.

Je suis tombé à terre et me suis relevé
pour mieux m'agripper à tous ces rets,
ces bouts de Nous qui traînaient partout
et m'empêchaient d'y voir clair dessous.

J'ai avancé des années dans ce brouillard,
continuant de le fabriquer en cherchant
un sens à donner, à saisir ou à laisser,
revenant toujours à ce point de départ,
ce point initial et final, où tout se rejoint.

Je me suis laissé mille fois embarquer.
J'ai bifurqué vingt fois en croyant trouver
une direction plus nette pour donner sens
aux mers d'incompréhensions et de silence.

Noyé dans tous les sentiments d'abandon,
croyant chaque fois tout à fait tout perdre,
ou me laissant prendre, je me suis pendu
à ton cou, à tous, à demain, à ce Nous,
dont j'attendais les mots pour éclairer
enfin mon chemin d'un ancrage serein.

J'ai tournoyé un moment dans les airs,
demandant au vent de me souffler
la clé de ce cadeau que je me faisais
forcément, à me perdre ainsi autant
pour réussir à sentir un seul instant
ce que ce serait de quitter cette galère.

J'ai trouvé le silence amer ou acide,
infestant mon coeur jusqu'à perdre
la raison qui m'avait amenée ici,
où je me trouvais encore vivant.

Dans la confusion, j'étais transporté
dans une éternité bercée d'illusions,
pleines d'incertitudes à propos de tout,
happé dans une quête qui m'éloignait.

Je suppliais les cieux de comprendre
pourquoi et comment je pouvais
supporter une si vaine recherche.

J'ai trouvé la distance, la proximité,
l'ouverture, le retrait et l'attente.

J'ai accepté la patience absolue,
dans le noir ou le jour éclatant,
presque trop brutal, en dedans.

J'ai vu les jours défiler,
les entrailles tiraillées,
le coeur tellement déchiré
de chercher une vraie issue
et la résolution de ce Nous.

Et puis vint ce jour de pleine lune.
Je me suis un peu plus abandonné.

J'ai fait confiance en la vie, les astres
et mes ancêtres, que je me relèverai.
Je trouverai l'essence de cette perte,
de soi, de foi, de cette fuite en avant,
hors de soi, loin de tout et de l'autre,
de cette course infinie après soi, toi,
après Nous, après demain et le reste.

J'ai cru avoir tout essayé quand
je me suis vraiment abandonné
pour aller sentir, tout en dedans.

Danser l'abandon, sans l'autre.

Sans toi, sans nous, sans le reste,
bourré d'attentes, d'espoirs de voir
émerger cette union rêvée du Nous,
seulement effleurée en songes,
union plus profonde et si réelle,
quand je me suis enfin abandonné.

Tu n'étais plus là. Tout n'était plus là.
Tu avais repris ta place à toi.
Tout avait repris sa place à soi.
A eux, à tous, à tout ça devant.

Ainsi je revenais à moi,
sentant avec passion et joie,
la force de ce désir qui unit à soi,
à cette étoile que je mettais au centre
d'une vie que je ne vivais que trop
occupé à te chercher toi, dehors,
et à me sentir abandonné, dedans.

Trop préoccupé par ma quête
pour me délivrer moi-même,
c'est le coeur nu et éprouvé,
l'épreuve du feu traversée,
que j'en vins à baigner enfin
dans cette Unité retrouvée
que rien ne pourrait diviser
pour me faire replonger
dans cet illusoire abandon
qui auparavant me fascinait.
Dès lors, je m'abandonnai bon gré,
pour le reste de ma vie au présent.

Source :r1,5- Lien

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Adaptation ou sauve-qui-peut ? (28 juillet 2022, Nouvelle Lune)


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Où en sommes-nous ?

Et si la dynamique d'adaptation en cours, ici ou là, était de nouveau une lutte des classes qui se prolonge, un sauve-qui-peut avec les moyens de son bord, dans son coin, tandis que le bateau peut bien continuer de couler ?

Le bateau, cette commune humanité qui ne se défera pas de ses filets trompeurs tant qu'elle n'aura pas basé sa reconstruction, son adaptation à ce qui arrive ici et maintenant, sur de communes valeurs humaines.

A quoi assiste-on depuis le début de cette dite crise, tandis que les méchants (oui appelons-les ainsi) continuent leur programme sans sourciller ? (voir WEF World Economic Forum de Davos r1,5- Lien).

Que se passe-t-il tout en bas de l'échelle sociale, construite par eux pour s'extraire des contingences des lois naturelles de la vie qu'ils conchient une à une jusqu'à (mais s'en rendent-ils seulement compte ?) couper la branche sur laquelle ils sont eux-mêmes assis, tout humain qu'ils sont, respirant sur cette Terre ?

Alors d'ici qu'ils s'installent et nous installent dans une vie totalement artificielle, où tu consultes chaque chose avec ton masque devant les yeux pour vivre toute ta vie en virtualité accélérée, il y a ce moment-là que nous vivons tous ensemble actuellement.

Et que nous raconte-il encore ce moment ?

Mis à part les élans relayés de quelques élus de notre cœur, super stars de la résistance à l'oppression, qui sont admirés et admirables au demeurant, mais face auxquels nous nous maintenons encore et encore dans l'expectative d'une solution venue de l'extérieur.

Mis à part les initiatives de repli sur soi, sur son bout de terrain ou son bout de vie sagement débutée quelques années avant, ou seulement hier, pour sauver ce qui pourra l'être.

Mis à part se nourrir de gens qui nous montreraient la voie à tenir, dans cette attente toujours et encore de l'extérieur, attente qui semble se complaire en elle-même pour ne pas dire enfin la force de ses propres valeurs et de ses choix, ses oui et ses non.

Mis à part se nourrir de son rêve solo, comme on nous aura bien appris à le faire pendant des décennies de glorification de l'individualisme et de destruction des liens traditionnels. Un rêve fait d'images toutes faites qui collent à la peau comme de la glu pour garder le pré carré de ses illusions et surtout protéger sa peur de vivre avec l'autre que cette société de prédateurs nous aura conditionné à voir comme un ennemi potentiel.

Mis à part ce grand écart entre admirer un autre là-bas qui saurait mieux que nous ou qui fera à notre place, pour rester soi-même en retrait ET rester en retrait pour mieux garder au chaud les beaux et doux rêves d'être unis un jour quand nous aurons bien fini d'installer les barrières sur notre propriété pour nous protéger d'éventuels sauvages affamés, comment respirons-nous tout cela ?

Et comment le respirerons-nous demain quand, chacun dans son coin qui aura bien admiré de loin deux ou trois qui se battent bien pour les autres, ou qui aura bien tenu à distance ses voisins très endormis, pour mieux se prévaloir de son petit réveil à soi, comment respirons-nous et respirerons-nous demain, dans cette commune humanité qui, que nous le voulions ou non, est un tissu vivant dont jamais, jamais, nous ne sommes séparés ?

L'illusion du sauve-qui-peut (pour qui peut, n'est-ce pas, de surcroît !) et du silence avec ça, pour soit-disant se protéger des tentacules d'une société délétère, construite grâce à la méchante hydre d'une société du spectacle (voir Guy Debord) et du divertissement dont nous avons bien voulu nous gaver ces dernières décennies, évitant alors de nous pencher deux minutes sur les valeurs que nous voulions vraiment, ne nous mènera pas sur l'autre rive d'une humanité digne, enfin guérie de l'individualisme artificiel qu'on lui aura imposé de gré ou de force.
r40- Sauve-qui-peut
Le lien que l'on renoue, que l'on respecte, le lien en soi, le lien avec l'autre, la conscience de ce lien, du lien entre les choses, la conscience que tout est relié, nous permettra de réirriguer les rivières desséchées de nos coeurs meurtris par des valeurs qui ne sont pas humaines.

Pour faire battre ce cœur, le chemin vers l'autre et le soin de tout lien est plus que précieux.

La conscience que rien du reste ne nous appartient et que rien ne remplacera jamais ce lien est essentielle.

Toutes nos actions actuelles de résilience, de résistance, de lutte, de construction, départies de cette conscience et de ce désir puissant de faire ensemble seront mortes nées.

Aho.

Source :r1,5- Lien

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Nous sommes POUR LA VIE (3 juillet 2022)


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Nous sommes POUR LA VIE. Nous aimons la vie.

La vie est belle et précieuse, et nous aimons les enfants, leur joie, leur innocence, leur beauté, leur spontanéité et ils n'ont d'autre choix que de nous faire confiance pour les guider, les instruire, les nourrir, les soigner, les chérir... LES PROTÉGER.

Les injections dites anti covid ont démontré leur dangerosité depuis le début, avec des chiffres alarmants que j'ai tenu à vous partager dès le printemps 2021 puisque l'ANSM les montrait, et que nous savions aussi depuis le départ que les chiffres déclarés par l'ANSM, et donc recensés, des effets indésirables graves et des décès suite à cette expérimentation génique ne représentaient que 5 à 10% de la réalité.

Les plaquettes transmises aux médecins pour vous éclairer sur ces effets omettent de vous indiquer cette information.

Pourtant il en a toujours été ainsi pour tout médicament mis sur le marché : les effets remontés, déclarés, recensés ne représentent que 5 à 10% de la réalité sur le terrain.

Un an et demi après le début de ces campagnes dites vac..ales, dont les effets ne vous auront prouvé que de leur inutilité et dans la transmission, et dans la maladie, et dans les EI (effets indésirables), vous êtes maintenant mieux informés de la réalité, même si, je ne le sais que trop bien, cette réalité est difficile à avaler, à digérer, à accepter, parce que comme des milliers de gens vous vous dites que c'est impossible que ces produits circulent encore s'ils sont si dangereux.

Non seulement ils circulent encore, mais l'âge auquel ces pseudos autorités qui n'ont d'autorité que celle que nous leur laissons avoir sur nous, en sont au point aux Etats-Unis depuis mi juin et bientôt ailleurs, d'appliquer ce mortifère « traitement » de masse aux nourrissons.

Les media mainstream vous ont déjà montré ces images d'une perversité sans nom, de nourrissons tenus et piqués, « pour leur bien et celui de tous » vous rabâchera-t-on encore et encore jusqu'à la nausée.

Même si vous y avez cru, même si la peur, ou la pression sociale, ou les contingences matérielles, ou la peur de la mort, ou tout autre motif vous a amenés à donner votre confiance, sans vérifier quoique ce soit du contenu de ses fioles, dont même les médecins, grassement payés pour obéir aussi aveuglement que vous, ignoraient également le contenu et les effets, trop pressés d'agir tel qu'on leur disait d'agir, je vous demande de prendre cette fois une pause.

L'étape suivante qui s'annonce, qui est annoncée, qui est déjà en cours aux États-Unis depuis mi juin 2022, est de faire aussi l'expérience sur les nourrissons à partir de six mois.

Nous sommes allés à un tel point de soumission dans nos choix, qu’ils peuvent désormais ne même plus se cacher de leurs actes. Les rapports des essais cliniques faits par ces laboratoires qui ont démultiplié leurs rentrées d’argent de manière infâme, montrent en effet sans fard les méfaits de ces injections sur les petits de six mois à cinq ans.

Le Collectif Reinfocovid et le CSI, Conseil Scientifique Indépendant, comme à son habitude depuis deux ans, a fait un travail de lecture de ces documents, tout à fait admirable.

Ils nous permettent d’avoir une lecture tout à fait claire de ces documents et nous ne pouvons pas ignorer les chiffres alarmants de ces effets indésirables graves relevés, dont la quantité et la manière dont ces études sont réalisées, devraient alerter, si ce n’est la fameuse HAS dont on aura compris la non intégrité, alors tout médecin.

Qu’il soit pédiatre ou généraliste, tout médecin se doit, se devrait (si nous lui mettons les documents sous le nez cela l'aidera peut-être), ayant pris connaissance de ces données, d’en informer sa patientèle et d’alerter nos élus locaux, maintenus gravement dans l’ignorance eux aussi, du danger que continuent de représenter ces produits dans le corps et des adultes et des jeunes et maintenant des bébés.

S’il y a des femmes et des hommes pour qui la vie est encore précieuse, et le sens du sacré de cette vie résonne encore dans leur coeur, il est essentiel que nous informions le plus grand nombre de médecins des résultats de ces essais cliniques.

Je remercie chaleureusement Hélène Banoun, pharmacien biologiste, qui a mis en forme dans ce documentr1,5- Lienque vous pouvez imprimer et envoyer à vos médecins, aux crèches, aux écoles ou que sais-je, que vous pouvez lire à vos pédiatres lors d’une consultation avec lui POUR LA VIE et la santé réelle de votre enfant chéri, que vous n’avez pas mis au monde pour lui retirer aussi prestement toutes les chances de grandir dans son plein potentiel de vitalité.

Je ne m’étalerai pas sur les autres effets que vous constatez maintenant autour de vous (oui pas tous fort heureusement) mais qui n'ont rien d'une situation de santé générale publique qui nous était familière puisque désormais voici des centaines et des centaines d'AVC, infarctus, thromboses variées, arrêt de règles, fausses couches, baisse de fertilité, zonas, hémorragies, paralysies faciales, etc et autres dérèglements qui sont désormais de plus en plus difficiles à ignorer et à ne pas relier à cet évènement vécu en masse et sur des personnes EN BONNE SANTÉ.

Si la responsabilité qui vous échoit de prendre soin des enfants qui arrivent tout juste dans ce monde, évoque encore quelque chose pour vous, faites cette pause même si je veux bien croire que la perte récente et accélérée de nombreux repères internes, nous éloignant toujours plus de la beauté de notre âme et de notre esprit clair, vous ait encore plus éloignés de vous-mêmes et de ce qui fait sens POUR LA VIE.

Je veux bien croire que vous ayez été encore plus fragilisés que vous ne l’étiez déjà dans votre capacité d’autonomie intérieure et de pouvoir personnel face au rouleau compresseur du conformisme et de l’hypnose collective récente, mais je vous en prie.

Je vous prie de vous pauser. De tout éteindre des stimulis effervescents qui agitent votre mental jusqu’à l’étourdissement et l’inconscience et d’écouter le début de cette vidéor1,5- Lienqui est une lecture des rapports de ces laboratoires concernant les essais qu’ils ont fait sur les nourrissons et tout petits.

Puis imprimer si vous pouvez et partagez :r1,5- Lien.

Faites savoir autour de vous (et en vous) cette réalité qui est choquante et qui mérite que nous soyons là, ENFIN, POUR NOS ENFANTS, POUR LA VIE.

Source :r1,5- Lien

Aussi sur RéinfoCovid :r1,5- Lien

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Les oiseaux se remettent à chanter (11 mars 2022)


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Les oiseaux se remettent à chanter.

Ils se remettent à chanter le matin. Ils se remettent à chanter le soir.

Marquant le début et la fin de la journée. Je les entends de nouveau.
r20- Oiseaux
Le matin. Et le soir.

A l’occasion de cette période qui précède mon anniversaire, je suis en train de faire le bilan de cette année passée, avril 2021 à avril 2022.

Le début. Et la fin.

Et au milieu j’égrène les mois et j'observe ce qu’ils contiennent, ce que j’ai vécu. Comment tirer la leçon de quoi que ce soit si je ne procède pas à ce regard sur ce qui a été, d’où je viens.

Alors, méticuleusement, je relis les lignes et puis entre les lignes, parce que je note tout, ou presque, l’essentiel en tout cas, et ce depuis des années.

Si le journal lunaire a été mon outil de prédilection pendant des années, mon simple agenda n’en reste pas moins un allié de taille pour garder cette précieuse mémoire de ce qui fût.

C’est là que ce soir je réalise toute la richesse de cette mémoire, et du regard que je peux ainsi poser dessus grâce aux mots notés au fil des jours sur ces carnets.

C’est là que je réalise combien cette année, comme les autres à n’en pas douter, fut riche à tous les niveaux. Et je rappelle à moi cet émerveillement de soi à soi, de cet être qui chemine du mieux qu’il peut dans sa vie, ses vies, intime, familiale, amicale, collective, communautaire, professionnelle, amoureuse, médicale, spirituelle, artistique, émotionnelle, intellectuelle, et j’en passe.

Nous sommes si riches de toutes nos facettes pour ne faire qu’un et aller notre chemin au coeur de la réalisation de soi, de ce que nous avons de meilleur à donner et par les tempêtes aussi, lorsqu’elles s’imposent, comme en ce douze juillet 2021, je le vois à mon carnet, je le vois au recul que je prends sur cette année incroyable, et je le vois à ce ressenti un peu désagréable d’avoir été perturbée dans mon temps intérieur. Choquée en fait.

Alors je vous invite tout un chacun à relire l’histoire de votre propre année 2021-2022 avec vos propres mots. À revoir ce qui en vous a pu être blessé, choqué au point de vous sentir aujourd’hui quelque peu déstabilisé dans le temps intérieur qui est le vôtre, comme ne sachant plus tout à fait si nous sommes bien en hiver, après un véritable automne, ou si cet été 2021 serait encore là, juste derrière nous, nous collant pour ainsi dire aux basques et nous empêchant peut-être, de bien nous accorder à l’énergie de cet hiver qui touche doucement à sa fin, et nous invite à liquider ce que nous n’emmènerons pas de cette année passée, pour entrer léger dans l’année qui s’en vient, même si et d’autant plus, nous ressentons déjà que cette année ne sera pas plus aisée que celle écoulée.

Je pourrais vous en dire plus sur ce que je ressens et pressens de ce que nous vivons tous ensemble en cette époque remuante, mais ce n’est pas mon propos ce soir. Une autre fois peut-être.

Je voulais juste vous partager ce soir cette invitation à nommer, identifier, observer les mois écoulés et leur enchaînement, leurs méchants accrocs, leurs cadeaux.

Je vous invite à relire votre histoire pour recaler les temps dans leur écoulement naturel car les chocs successifs ont pu vous heurter au point de briser une harmonie de vous-même dans les espaces-temps qui sont les vôtres.

Je vous invite à vous féliciter aussi pour le courage que vous avez eu de traverser ces péripéties en vous reliant aux autres.

Je vous invite à vous pardonner d’avoir manquer de courage pour affronter les périls qui ont violemment surgi dans nos vies sous bien des aspects.

Et enfin je vous encourage à continuer, à garder la foi en vous et votre beauté pour continuer.

Merci et à tout bientôt à vous tous.

« Soyez comme l'oiseau posé pour un instant sur des rameaux trop frêles qui sent plier la branche et qui chante pourtant sachant qu'il a des ailes. » Victor Hugo.

Source :r1,5- Lien

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Aux médias hypocrites (14 février 2022)


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Vous êtes une source d’inspiration inépuisable finalement. Je souris.

Je reprends un peu de la plume après vous ce matin, après avoir pris de mon temps pour observer un peu de cette gesticulation qui est la vôtre depuis toujours et qui dure encore.

Jusqu’au bout vous vous accrocherez donc à votre petit bout de parole en prime time.

Mais qu’avez-vous encore à dire ?

Nous vous voyons vous débattre en ébats stériles mes amis. Oui des ébats, quasi amoureux avec vous-mêmes, dans un entre-soi qui donne trop souvent la nausée ou dans un narcissisme qui ne trompe que lui-même.

Lâchez l’affaire. La messe est dite.

Vous vous croyez savant  ? Vous avez décroché le diplôme ou le gros lot qui vous permet de vous tenir là où vous êtes ?

Mais revenez donc sur terre chers médiatisés électrisés par votre propre faconde.

Reprenez cette prise terre que vous n’avez jamais voulu brancher, trop pris par la fascination de vos fausses lumières aux plafonds de vos boîtes où l’on se montre encore et encore, en boucle et en série.

Mais qu’avez-vous à montrer encore si ce n’est votre agitation et votre désespoir mal dissimulé, face à ces vérités qui se resserrent sur vous, comme des étaux, jusqu’à étouffer votre cerveau encombré de mots déconnectés du coeur.

Ah de l’émotion, ça oui ! Et de la fausse avec ça quand c’est nécessaire !

Quand la coquille vide et le cerveau un peu rouillé cherchent de quoi se mettre sous la dent pour donner encore à manger à la caméra qui attend et exige sa pitance.

Plan fixe interminable sur votre agonie.

Nous préférons prendre les routes et elles sont belles.

Le visage de celles et ceux que vous daignez interroger ce matin est radieux.

Le vôtre un peu contrit, tandis que vous faites semblant de leur porter un intérêt.

Ces êtres aujourd’hui sur ces routes de France et d’Europe portent en eux, vibrant, ce centre autour duquel vous tournez trop pour avoir jamais pu dire quoique ce soit de palpitant et leurs visages sont beaux.

Ils rayonnent la liberté dont vous faites encore semblant de chercher à comprendre le sens.

Que d’hypocrisie dans vos regards dont le maquillage ne pourra jamais cacher la laideur qui consiste à faire semblant.

Votre règne est fini et nous nous réjouissons de cette libération.

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Vannes - Morbihan (5 février 2022)


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C'est un temps de rencontres important et essentiel pour avancer dans la durée. J'y ai rencontré des personnes mobilisées sur des terrains différents. Des gens de La Roche Bernard, une femme de Rennes etc. Des personnes qui étaient là déjà cet été et durent, avec cette sensibilité qui est la leur, et perdure, et se heurte bien sûr à la dureté de cet hiver fait de deuils à traverser aussi.
r20- À Vannes
Ils racontent leurs défis du moment. Défis personnels, de durer dans le combat au niveau individuel, collectif. Tous témoignent des ruptures de liens dans les familles, les amis, qui n'en sont plus et même parmi les citoyens mobilisés, la peine grandissant, l'abdication parfois, parce que soudain on a besoin de se prendre à rêver un retour à un monde d'avant.

Mais il n'existe pas et nous avons beau regarder derrière ou devant, en cette époque de transition, parfois, souvent, oui, nous ne voyons pas où tout cela nous mène, nous emmène même dirait-on.

Mais nous sommes là, présents, et quand je raconte la flamme qui a perduré depuis des années, en d'autres contrées, où des luttes ont déjà été menées et continuent d'être guidées par le Cœur, alors les yeux s'allument, se rallument, la joie frissonnent dans la poitrine qui se gonfle d'amour d'avoir été et d'être encore de celles et ceux qui sont là et qui ne lâchent rien comme dit l'autre.

Aussi, en cette période de nouvelle lune, qui peut accentuer notre sensibilité à fleur de peau, je vous invite toutefois à lâcher un peu de ce qui est trop lourd, de ce qui encombre ce chemin qui se dessine en convois, en jardins, en marches, en repas partagés, en cafés forums au coin d'un port, en concerts à domicile, en ateliers de partages de connaissances, d'apprentissages de ce Nous, dont on ignore encore un peu, beaucoup, par quel bout l'attraper.

Qu'il respire en nous ce Nous et il prendra cet air qui nourrira son envol, si nous le laissons grandir en liberté, tout autant que ce cœur qui est le nôtre et que l'on aime mettre et remettre sur la table, encore et encore, parce que c'est comme ça que nous sommes le mieux humains.

Et en lâchant un peu de tout ce poids de ce que nous avons charrié jusqu’ici depuis des mois, des années parfois, de colère et d’effroi, de choc aussi, et de peur, de chagrin et d’indignation assurément, nous redonnons de la place à l’Espoir qui nous fait avancer vers le monde meilleur que nous désirons faire connaître à nos enfants et à cet enfant en nous qui n’en finira jamais de s’émerveiller.

Merci pour vos étincelles dans les yeux cet après-midi à partager nos histoires communes. Votre présence est un cadeau pour chacun de nous.

Merci pour la Beauté.

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Colibri (17 décembre 2021)


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Alors à tous ceux qui n'ont pas encore compris depuis tout ce temps, et depuis le 12 juillet en particulier, qu'il fallait qu'ils s'opposent ouvertement à toute cette chienlit, il est sacrément temps de vous bouger, vous manifester, vous exprimer, vous opposer, dire NON.

Allez ! Courage ! Vous allez y arriver !

r20- Colibri Cela fait des mois, des années que l'on vous attend pour faire le nombre et espérer enfin mettre le holà à toutes ces calamités.

Debout.

Chaque jour sans vous est plus dur à porter pour ceux qui se bougent le cul depuis le début, et une chance en moins de mettre un terme à cette histoire de fous (fous de pognon, fous de pouvoir, et certainement pas fous de votre bien ou de votre santé).

Vous l'aurez peut-être ENFIN compris ( ? ? ? je me demande).

Combien comme moi commencent sérieusement à perdre patience devant votre silence, votre isolement dans votre petit coin, croyant faire votre colibri, mais en fait en vous terrant sans vous affirmer.

Le colibri est une belle histoire offerte au monde il y a au moins vingt ans pour donner envie de faire dans une forêt qui se met à brûler. Mais cette histoire si elle est encore valable mérite une petite actualisation. Les temps ont changé !

Ouh ouh ! Je colibrite, tu colibrites, il colibrite, nous colibritons si bien que ... Ouh ouh ! ! Vous êtes où ? ? !

Ramassez vos œillères et votre costume d'ayant-tout-compris-sur-la-vie-et-sa-manifestation par la création de vos esprits si évolués.

Voyez votre aveuglement. Un peu d'humilité.

Le développement personnel a endormi la population pendant que des projets de société se mettent eux gentiment en place pour vous et que vous n'y faites rien, enfermés dans vos bulles et vos portails énergétiques qui ne font que vous faire tourner en boucle autour de votre nombril de missionné d'âme. La voilà belle la mission à force d'attendre et de croire au père Noël. Le divin enfant attend chaque année en chialant tellement nous sommes perchés !

Sortez avec l'aigle et regardez d'en haut ce qui se passe en vrai. Avec lucidité et discernement. Dites au colibri de se reposer tiens et sortez de vos terriers pour lui filer un vrai coup de main.

(Oui j'ai dit « vous » parce que je te parle à toi qui dors et que cela commence à faire un sacré bout de temps que je t'envoie des messages et ce n'est pas parce que je dis « vous » que je ne me redonne pas à moi-même aussi ce message. Ça c'est pour ceux qui me disent comment je dois parler et que je dois dire « nous » et pas « vous ». Comme si on en avait pas assez de la police à l'entrée des marchés de Noël cette année).

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« Rageux » (16 décembre 2021)


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« Rageux » : mot fréquemment utilisé par les pleutres et les couards en 2021, au cours de la mise en place de la dictature sanitaire, pardon ! numérique, et d'une forme sophistiquée, mais non moins barbare, d'esclavagisme (ni moderne, ni quoique ce soit : juste, toi, petit homme injecté, plus penser et marcher).

Ce mot, « rageux », servit ainsi aux personnes soumises et dans l'adhésion avec les diktats en cours, à qualifier sans avoir besoin d'argumenter (de manière intelligible donc) les partisans de la liberté (liberté de se soigner, de refuser une injection génique, liberté de circuler, de respirer, de travailler etc).

Dans un pays où le maintien depuis six ans déjà, sous forme d'un véritable coup d'état, d'un état d'urgence répété (urgence tout court puis sanitaire) était devenu normal pour une majorité lobotomisée par un gavage aux écrans (tv, ordi, tél...), il était devenu tout aussi normal de maltraiter, dans la plus grande indifférence, jusque début 2020, des opposants à ce régime en marche vers la dictature.

Puis, quand la population, au niveau mondial, commença à succomber par milliers, dès début 2021, suite à l'inoculation, ni libre, ni éclairée d'un produit obscur, cette majorité, toujours aussi silencieuse, commença à traiter de « rageux » quiconque voulait s'exprimer sur ces sujets hautement graves, comme le fait aussi, que, la jeunesse elle-même, était devenue en quelques mois, soit suicidaire, soit en totale perte d'espoir pour leur avenir (ce qui revient au même).

Traiter quelqu'un qui dénonçait cette calamité de « rageux » était une des formes banalisées du déni d'une population qui signifiait ainsi sa volonté de continuer à se soumettre à cet esclavagisme suicidaire, et en silence s'il vous plait ! afin de s'illusionner le plus longtemps possible avec ce bon vieux rêve d'un progrès, et d'une croissance infinie qui sauvera le monde, tel que Saint Vac Saint était lui-même censé sauver la vie de chacun lui tendant l'épaule pour recevoir la dose fatalement thrombeuse.

Le tout, grâce à de très généreux et audacieux laboratoires novateurs et des politiciens non moins vertueux et soucieux bien sûr du précieux bien commun, alias le joli magot qu'ils se faisaient tous sur le dos de chaque obéissant (qui n'est donc pas censé rager, mais être docile et se taire).

Traiter de « rageux » ceux qui revendiquaient leur liberté et leur souveraineté d'être humain, permettait donc, aussi longtemps que possible pour le "traiteur", cultivant avec piété le silence en l'esprit et la langue, de s'exonérer totalement d'une quelconque pensée critique du nouveau système, d'un quelconque discernement, ou encore d'émotions et d'empathie (annihilées par des mois de rude propagande d'une messe généreusement administrée chaque soir, à l'heure terrible où la nuit tombant, les pires peurs vont pouvoir pour une journée encore, court-circuiter la faculté de penser. Et hop ! le tour est joué !)

Et donc traiter l'autre qui cause encore, de « rageux » permettait au sidéré, lobotomisé, obéissant et toutes ses dents, de se dispenser de courage.

Comme le courage par exemple de débrancher la prise (la peur) et de relancer son cerveau, à une époque où l'humanité entière, était atteinte (pas condamnée espérait-on) par cette frénésie pleine de rage manifeste, elle, (en témoignent... tant de témoignages !) de détruire la vie, grâce à une énoooorme omerta, cultivée à tous les niveaux de cette société-là, en plein effondrement.

Les couards de l'époque préféraient donc injustement attribuer cette rage à celles et ceux qui défendaient la Vie, ces pseudo rageux surtout dérangeants, qui devaient, de surcroît, pour rester humains jusqu'au bout, conserver dans leur cœur palpitant, amoureux de la vérité, l'empathie pour ces fous de peurs ayant opté pour la tyrannie, en guise de « vie normale ».

Source :r1,5- Lien

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À quoi ressemble mon pays ? (2 octobre 2021)


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Il s’est pris les pieds dans le tapis. Plus rien ne va comme on dit à moins que tu n’aies ton pass, et encore... et que tu te croies ainsi épargné de réfléchir, et d’agir, pour ce pays qui est le tien et ce qu’il est devenu en quelques mois.

Cette communauté humaine, locale, nationale, ne tient plus ensemble. Déchirés, incompris, évincés, suspendus, refoulés, rejetés, démolis. Tout part en déliquescence et force est de constater que pour celles et ceux que cela étonne encore, ils doivent faire avec une majorité de gens qui se soumet volontiers, chaque mois un peu plus, à ce qui est imposé, aussi absurde et dangereux cela soit-il, pour eux-mêmes, pour leurs proches, ou pour l’équilibre déjà précaire de ce pays.

La réflexion a foutu l’camp. La raison a déguerpi. La folie du Déni occupe la place, mais pas ce petit bout de place où vous vous tenez.

Et je suis comme vous, comme toi, elle ou lui qui se demande bien, quel genre d’avenir est encore possible, quel genre de société.

Quel est ce vivre ensemble qui se satisfait que chaque individu soit de plus en plus oppressé, avec une vie sous conditions d’actes médicaux, plus que douteux les uns que les autres, qu’ils s’agisse de tests aux résultats que l’on peut depuis le début facilement remettre en cause, ou d’injections tombées du ciel de start up qui se trimballent déjà de grosses casseroles, comme tout Big Pharma en a l’habitude, ou que ce soit encore des médicaments ou des sprays nasaux, pour nous faire passer entre les gouttes d’on ne sait plus trop quoi, mais certainement pas des dégâts créés au fil de ces trouvailles bien rentables pour certains.

Quelle est cette société devenue si banalement discriminatoire, réellement dangereuse par les dégâts provoqués à tous les niveaux, et si inconséquente face aux dangers qu’elle fait courir à tous ? Tous dans le même bateau qui coule à grandes eaux ces temps-ci, n’en déplaise à ceux qui déjà étourdis par le mirage d’une campagne présidentielle comme une autre, devront bientôt voir de leurs yeux, les blessures laissées par cette aventure décidée sans nous concerter, et contre nous, nous le voyons. Nous le voyons au déclin qui transpire.

Ils nous ont fait abdiquer à coup de peurs savamment inoculées chaque jour au fil des mois. Ils ont fait croire à une impossibilité de se soigner allant jusqu’à anéantir quasi totalement le métier de médecin. Ils ont fermé les vannes de la décence pour laisser une armée de pantins, menée par le bout du nez, à coup de gains faciles pour rendre opérationnelle cette pitoyable résilience d’un monde qui était déjà en train de s’écrouler en un monde qui s’écroule encore plus vite, sous nos yeux qui cherchent un sens à tout cela. Et c’est tant mieux : continuons de chercher un sens et tâchons de le trouver en nous parce que les temps sont plus que jamais périlleux.

Tant de bras armés incarnent depuis des mois la grande blouse blanche qui a permis, et qui permet encore aujourd’hui, de faire vivre à une population mondiale une expérience de Milgram grandeur nature, cette expérience en 1967 qui a montré à quel point lorsqu’une blouse blanche te le demande, torturer ton prochain, risquer de le tuer même, ne te pose plus tant de problème que ça.

Donc face à ce déni généralisé, pathologique, parce qu’il devient impossible de s’avouer à soimême combien on a pu se faire abuser, humilier, - et humilier, c’est ce que fait ce gouvernement en appliquant via la société de communication Mac Kinsey, la théorie du Nudge avec trois axes
principaux : l’humiliation, la culpabilisation et l’infantilisation – et face à cette expérience de Milgram grandeur nature qui en un seul été par exemple, nous l’aurons vu, aura même fait sauter le verrou de parents qui auraient du avoir envie de protéger leur progéniture, mais, en lieu et place, l’ont emmenée, dès 12 ans, à une injection dont les risques pour les jeunes sont beaucoup plus grands que ceux liés au covid et cela est connu, dit et répété quand on veut bien ou que l’on peut bien encore, voir l’information contradictoire.

Alors oui, il est normal et légitime ce matin de se demander où nous allons et quel avenir est encore possible dans ce contexte mortifère. Et qui viendrait vous toiser de son air désinvolte, en vous disant que la « vie d’avant est revenue », ou qu’elle peut reprendre normalement, se ment tellement à luimême qu’il ne peut évidemment pas vous convaincre.

Notre instinct ne nous trompe pas. Et il ne nous a pas trompés hier. Aujourd’hui les nouvelles fâcheuses qui remontent à la surface, malgré la volonté acharnée de les maintenir sous l’eau, nous parlent de ces comas à 17 ans, ces AVC en masse et la liste est longue, et nous la connaissons, et depuis trop de mois déjà, et le temps est long mes amis face à ce silence, et cette omerta de la presse vendue.

Mais nous le savions hier et nous le savons aujourd’hui que nous ne pouvons pas compter sur eux pour nous révéler ces vérités inhumaines et que c’est à nous de faire cette œuvre. C’est au peuple bien vivant et debout, alerte, à l’écoute de ce qui l’entoure, de parler, de raconter et de rester mobilisé.

En cœur, même quand l’automne pointe son nez et la fatigue, d’un été choquant, face au contrat social brisé sous nos yeux, restons présent en nous-mêmes, à ce qui fait sens, et nous guide intérieurement, pour faire ce qui est juste pour soi, et qui sera bon pour nous tous.

Notre instinct sait que quelque chose de délictueux est en train de se passer sous nos yeux, et de pervers, et que cette guerre annoncée en 2020 par son commandant en chef, dans ce pays qui touche le fond aujourd’hui, cette guerre est avant tout une guerre des esprits, une guerre contre la raison.

Une déraison qui fera peut-être même emmener demain des parents faire injecter leurs enfants de trois ans, comme les élites l’avaient envisager au niveau européen pour septembre normalement. Ils ont du retard. Les avons-nous retardés ? J’ose l’espérer.

Aujourd’hui des laboratoires indépendants nous montrent de plus en plus la soupe contenue dans ces produits, et au niveau politique la soupe qu’on nous raconte, pour nous faire avaler que ce pass sanitaire peut être prolongé encore et encore, comme hier l’état d’urgence, puis l’état d’urgence sanitaire, puis le droit de passer.

Mais pourtant, le Déni veille encore, comme un dragon qui garde jalousement un obscurantisme que l’on voudrait que nous appelions avec respect la Science, mais nous savons que la science n’est pas cela, et qu’il s’agit aujourd’hui d’un scientisme qui a perdu pied, et pour cause, sa racine est son mal, car sa racine puise aujourd’hui la source de tous ses discours, dans le pognon qu’elle fera gagner à quelques uns, dominateurs et dangereux, qui devraient être arrêtés, avant que ce ne soit eux qui mettent fin à la Vie que nous savons si précieuse. Et ce n’est pas l’écologie qui nous sauvera de ce péril-là, mais bien une écologie intérieure qui consiste à réapprendre à dire NON, haut et fort, à ce qui tue et à ce qui divise.

Voyez actuellement avec quelle fausse et pseudo pédagogie, on tente encore de vous convaincre de l’innocuité, et du produit, et du discours tenu, tandis qu’aucun propos contradictoire n’est toléré, sauf pour être ridiculisé, humilié, infantilisé, encore et encore, tendant à nous faire croire qu’il n’y aurait qu’une seule bonne parole. Quel est ce pays ?

Et bien moi je vous dis, reprenez la vôtre de parole, votre voix, et dites à qui veut l’entendre que notre instinct a plus de raison aujourd’hui que la déraison actuelle n’aura jamais assez d’instinct pour reconnaître que notre pays a besoin de cesser, et ces abonnements vaccinaux dès la naissance, et ces pass qui ont largement dépassé toutes les bornes de ce que notre Constitution pouvait tolérer.

Vaccinés ou non vaccinés, aujourd’hui, c’en est assez de cet état sanitotalitaire dont bientôt personne ne pourra taire le vrai nom, tant les dégâts seront grands. Et les dégâts sont déjà grands si l’on veut bien ôter ses lunettes pour voir sous nos yeux cette humanité qui se laisse être de plus en plus indigne dans sa manière d’agir.

Donc nous avons raison en écoutant notre instinct de vie, de dire avec cœur, ce qui compte pour nous et nous avons raison aussi de vouloir cultiver le silence intérieur qui nous permettra de continuer d’avancer ensemble, même si le péril est grand. Mais « là où croît le péril croît aussi ce qui sauve ».

Source :r1,5- Lien

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Des êtres d'amour (25 septembre 2021)


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Cette semaine était particulière. Les élus ont eu à se rappeler les habitants de leur ville. Tous les habitants. Pas seulement la majorité silencieuse, mais aussi les âmes sensibles, les âmes rebelles, celles qui s’insurgent encore devant l’injustice, l’illégalité, l’indifférence et les calculs froids pour des questions soi-disant de vie et de santé mais qui ne sont que sanitaires, sécuritaires comme on parlerait à des
robots.

Mais nous ne sommes pas des robots ici à Annonay. Et je reviens du Morbihan où j’ai pu rencontrer des frères et des sœurs comme vous qui se retrouvent autant qu’ils peuvent et apprenant ainsi à se connaitre font naître en le faisant, en le vivant, un autre monde, une respiration, une conscience qui se lève et s’élève face à l’ignominie, l’inconséquence et la compromission sans bornes pour garder à tout prix sa place chère
payée ou gagner celle au-dessus en écrasant toutes les lois de la vie.

Ce sont comme vous des sœurs et des frères de lutte, de combat ou plutôt regardez-les bien s’unir, des êtres d’amour et cet amour les porte et vous porte depuis deux mois sur cette place quotidiennement et quelle joie pour moi de me sentir liée et à vous et à ces bretons et à toutes celles et ceux qui depuis des semaines, des mois, des années, osent avec courage dire leurs vrais besoins, leurs essentiels, leurs rêves pour demain.

Et cette semaine, c’est en êtres sensibles, touchés par vos proches qui perdent leurs emplois, suspendus, évincés, jetés parce que ne rentrant plus dans la case, n’ayant pas tous coché d’un seul homme et sans broncher, « vacciné.é », les voilà exclus de leur art, de leur métier, de ce qu’ils savent faire, et qu’ils ont bel et bien fait pendant des années, au service de cette société qui les a attendus, comme opérationnels, jusqu’à cette ultime injonction pour continuer dans ce sens, dans cette obéissance aussi, à ce qui tombe d’en haut, de cet état, cet état de fait, ce "on n’a pas le choix", cette injonction à l’injection.

En plein été, faisant porter sur le dos de ces hommes et de ces femmes, déjà érintés depuis des années, par le service rendu dans des conditions toujours plus désastreuses, d’une institution toujours plus mécaniste et froide, en plein été, leur imposer cette épée de Damoclès d’obéir, de laisser entrer dans leur corps, même sans leur consentement, ce produit aux allures douteuses, qui depuis le début quasiment, laissait déjà mal en point, ou sur le carreau, tant de gens, trop de gens.

Mais contrairement à d’autres campagnes vaccinales passées, pour lesquelles parfois au bout d’un seul mort, nous cessions d’injecter et de prendre le risque de faire trop de dégâts, cette fois, sans que personne ne parvienne plus à se l’expliquer, il fallait, et on le voit encore, continuer le carnage, tout en osant imposer des obligations vaccinales, telle que celle vécue cet été.

Alors, pour reprendre une partie du titre d’un article de presse paru cette semaine, suite au conseil municipal que nous sommes allés visiter, un article qui titrait que ce conseil avait été « perturbé », veuillez entendre que nous, nous sommes très perturbés, perturbés par ce que nous voyons et par ce que nous entendons ou que nous n'entendons pas.

Et par ce gouvernement qui agit dans l’illégalité et l’oppression, sous le drapeau d'une pseudo cause urgentissime et sanitaire, de pseudo résilience et croissance nécessaires, tandis que ce qui croît surtout, c’est le porte-monnaie de Big Pharma, et la froideur avec laquelle une majorité silencieuse se laisse dépouiller, et son présent, et son avenir, et sa santé et celle de ses enfants, en cultivant l’ignorance, et des lois de la vie, et des conséquences actuelles de leur trafic immonde jusqu’au cœur de nos cellules.

Alors oui, nous sommes perturbés, par ce constat dramatique qui ne va pas cesser ainsi de se faire jour, en pleine lumière, au fil des mois, car si l’époque est au mensonge, la vérité n’en finit pas non plus de nous éclabousser de sa lumière, dans ce que nous pouvons voir, chacun, autour de nous, depuis des mois.

Et non, le conseil municipal n'a pas été perturbé, comme le dit le titre de l’article. La preuve, c'est qu'ils ont commencé à l'heure et qu'ils ont fini quand ils ont voulu.

Ils ont juste eu à rencontrer des citoyens les yeux dans les yeux (quand ils l'ont bien voulu...), avec leurs messages, des documents reçus de la main à la main, avec le sourire et la bienveillance dont vous savez faire preuve, comme lorsque vous transmettez aux parents de quoi s’interroger sur la manière dont leurs enfants sont traités, enfermés sous la camisole du masque et de la peur de l’autre, grâce ou à cause du virus magique.
Tous ces documents remis, aux parents ou aux élus lundi soir, leur faisant à ces derniers, état des effets secondaires graves recensés suite aux injections géniques, ces documents et votre présence quotidienne, hebdomadaire ici, place des cordeliers, place des cœurs déliés, tout cela fait qu'ils ne pourront pas dire à l’avenir, qu'ils ne savaient pas.

Alors ces samedis matins ensemble sont précieux pour se remercier pour tout cela, pour cette présence, pour ces actions. C’est l’automne, le temps des récoltes et des partages de fruits, de légumes, de cadeaux pour se remercier d'être de ceux qui, avec humilité, osent douter de quelque chose, osent encore douter, avoir un discours autre que le discours de propagande.

Être de celles et ceux qui restent la tête haute, dignes, osant être de la minorité de ceux qui tiennent cet autre discours et qui, depuis des mois, s’en trouvent d’autant plus humiliés, violentés parfois, même par leurs proches, qui se permettent de s’ingérer dans leur vie privée, et leur parler de ce qui est normalement un acte médical, tenu par le secret médical, un secret médical que nous avons laissé voler en éclat.
Parfois même agressés, comme cette femme médecin, la semaine dernière qui avoue elle-même se faire injecter contre son gré, à l'Île-aux-Moines, pour satisfaire une patientèle qui ne s'en émeut pas, qui ne s’en émeut plus, que leur propre médecin se fasse injecter contre son gré.

Elle décide de recevoir ce produit dans son corps, comme une agression qu'elle a subi donc, disant elle-même qu’elle le fait contre son gré.

Et combien comme elle, combien pour ne pas perdre un travail, et nous ne pourrons pas dire que nous ne savions pas.

Et nous faisons partie de ceux que cela touche encore tandis que le maire de l'Île aux Moines se contente lui d’expliquer que la médecin, je cite, « a dû finalement être émue par sa patientèle » qui se retrouvait sans médecin sur l’île et en somme, et serait revenue à
la raison en se faisant injecter pour eux.

Et lui a-t-il perdu la raison pour tenir un tel propos ? Et n’a-t-il plus aucune émotion pour ne pas s’émouvoir pour cette femme agressée ?

Nous sommes de ceux qui restent dignes et alignés en leur âme et conscience.

Nous sommes de ceux qui osent encore douter et émettre ce doute, et le partager, et le dire ici, sur cette place, chaque jour, chaque samedi, et le maire lui-même, qui dit avoir pris acte de vos mots, de votre présence, n'est pas capable si l’on en croit ses propos dans un article de presse en début de semaine, de dire les jours et horaire exacts auxquels vous vous êtes retrouvés ici, depuis le 13 juillet.

Plus que jamais gardons la tête haute face à ces gens incapables de voir avec leurs yeux ce qui se passe chez eux.

Et c'est bien de cela dont nous avons besoin, de voir avec nos yeux et d'entendre avec nos oreilles.

À une époque où les chiffres, les tableaux, les statistiques froides devraient être une norme, et bien nous, nous revendiquons l'humain, l'humanité, dans ses sens, dans ce qu'elle a de sensuel, du plaisir de vivre, qui fait qu'elle accorde à cette vie, une valeur sacrée.

Et c'est avec ces sens-là qu'elle observe autour d'elle et qu'elle voit, qu’elle voit les effets secondaires qu'elle n’ignore pas, que nous pouvons ensuite aller compter pour remplir des tableaux et des graphiques, mais que surtout, dans un premier temps, nous nous racontons, telles les histoires que l'on se raconte quand on n'ignore pas les siens, quand il n'y a pas cette croyance d’une séparation avec l’autre, d’une distance, mais bien une chaleur humaine qui laisse circuler encore les mots, la présence, l'être, et permet de dire la douleur qu'il y a à entendre, les blessures qui sont faites dans les corps par les soins qui ne sont plus donnés aux uns, ou aux autres, les blessures qui sont faites par les injections qui abîment ou les souffrances psychiques qui ont lieu.

Toutes ces souffrances relatées, entendues, quand on veut bien ne pas rester froid, impassible ou méprisant, comme on peut le voir ici ou là, ces souffrances sont vérifiables par ces fameuses statistiques, mais elles sont surtout vérifiables par nos oreilles qui restent ouvertes, par nos yeux qui restent ouverts, car nous restons des êtres humains, ces âmes sensibles debout, et ensemble, chaque jour ici sur cette place et chaque samedi matin.

Nous nous retrouvons et nous partageons ce plaisir d'être ensemble et de nous dire les choses, non pas de ce qui vient d'une boîte froide et étrangère à nos vies, une télé qui nous imposerait comment penser, ou comment sentir.

Nous sommes en tant qu'être humain capable et responsable de sentir ce qui nous touche, ce qui nous abîme, ce qui est nécessaire et vital pour nous, ce qui est de l'ordre de nos besoins.

Nous avons besoin de ce lien humain, et nous le revendiquons en revenant ici et nous osons nous regarder dans les yeux et voir en chacun de nous, la présence d'un être humain debout, qui ose affirmer ce besoin qu'il a de sentir et de goûter le lien avec les autres, et de se le dire, se remercier d'être présent, et d'oser s'afficher, à visage découvert, à paroles découvertes, pour échanger ces mots vitaux, ces mots nécessaires,
à une époque où certains silences sont ahurissants, certaines omertas sont inacceptables, destructrices, et nous sommes là pour garder vivant ce lien qui unit.

Ce lien, nous l’avions sans doute oublié depuis des années.

Cette fameuse crise covid, cette époque historique que nous vivons en France et dans le monde entier, nous permet de sortir enfin de cet individualisme qui nous a abîmés et a fait que tant de gens cet été ont succombé à cette tentation, une fois encore, de la facilité d'une vision à très court terme, se jetant par millions sur cette injection, et très souvent à contrecœur aussi, mais comme un sésame pour garder leurs modes de vie, leurs chères habitudes, que cette époque incroyable pourtant nous invite plus que jamais à transformer.

L'an dernier, nous avons eu cette période d'intériorisation pendant des confinements qui, aussi injustifiés aient-ils été, nous ont permis de reconnecter avec la conscience de nos besoins réels.

Nous avons eu tout le loisir de revoir ce qui compte pour nous et ce qui compte, c'est de faire germer la vie, c’est de faire pousser des jardins, c'est de faire sentir l'amour aux gens qui comptent pour nous, c'est de faire sentir ce respect si important à chaque être humain et que depuis des années, nous avons laissé abîmer.

Cette froideur que nous avons laissée s’installer dans une société d’écrans interposés et d’institutions technocrates, et bien aujourd'hui, nous avons la chance de nous relever, ou de nous lever, ou de tenir, debout, les yeux dans les yeux, et de nous dire à quel point ceci compte pour nous, d'être humain.

Ceci compte pour nous de revenir à l'essentiel, cet essentiel dont on nous parle pour nous faire rentrer dans des tableaux statistiques, nous revendiquons, nous, cet essentiel que nous sentons palpiter dans nos cœurs, cet essentiel que chacun peut sentir.

Et je souhaite de tout mon cœur que ces gens qui se sont laissés aller dans cette dérive, allant jusqu'à se couper d'une part d’eux-mêmes pour voguer dans un perpétuelprétendu progrès, comme ces gens qui ont dit à un ami qui avait refusé cette injection que, désormais, il allait stagner dans sa vie, et bien je dis à ces gens que je leur souhaite dans ce courant qu'ils ont prétenduement choisi vers le progrès, et qu'ils veulent à tout prix imposer aux autres, d'avoir le courage de se regarder dans le miroir, de mettre une main sur leur cœur et de sentir si celui-ci bat encore à l'unisson des autres humains.

Si leur cœur peut encore sentir la puissance qu'il y a à préserver la vie en soi et dans le lien avec les autres, je leur souhaite que de cette pulsation jaillisse un renouveau pour eux, un nouveau fleurissement, après cette période si sombre que nous traversons tous ensemble, vaccinés, non vaccinés, tous le cœur blessé par les pressions imposées, les sacrifices, la casse dans les quotidiens de chacun, les liens avec les proches, des liens parfois brisés, la discussion devenue impossible, Je souhaite que tous ces cœurs palpitent dans le sens de la vie, de cette source
commune de vie, brillante et magnifique, que nous pouvons chaque jour sentir, en nous reliant à elle, pour pouvoir plus que jamais maintenant, à ce moment si difficile de cette histoire qui s'écrit avec un grand H, garder réellement la tête haute et oser se le dire à soimême et se remercier pour ça.

C’est l’automne. Les récoltes sont là. Il y a dans nos jardins et dans nos cœurs de quoi offrir à chacun, de quoi partager, de quoi faire sentir avec dignité, à chaque homme, à chaque femme, à chaque enfant, présents ici, et ceux aussi qui, sur les terrasses, plus loin, regardent, et qui peuvent décider de venir partager également, les fruits de cette vie essentielle que nous aimons.

Merci d'avoir été là tout l'été pour préserver ce lien, ces partages, ce lien à la vie.

Heureuse d'être avec vous aujourd'hui, les yeux bien ouverts et la tête haute.

Continuons.

Yala !

Source :r1,5- Lien

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Audio

Cordeliers, 19 mars 2022

Par Martine, un court extrait de la déclaration des suspendues, qui devait être lue lors de la manif de la C.G.T. (voir le compte rendu du rassemblement du 19 mars).

Fréquence 7, 15 mars 2022

Fréquence 7 est une radio créée en 1981 par l'association De Source Sûre qui émet sur le secteur de l'Ardèche Sud.
« Les suspendu(e)s dans l'Onde Curieuse » est le titre de l'émission ci-jointe. Présentation : « Parce que non vaccinés contre la COVID19, et travaillant dans le milieu médical, les suspendu(e)s que l'on écrit plus souvent avec un « e » ne peuvent plus exercer leur métier depuis plusieurs mois. Après d'âpres batailles juridiques, leur statut, au lendemain de la suspension du pass vaccinal et d'une première décision des prud'hommes d'Alençon allant dans leur sens va-t-il évoluer ? ».

Le site de la radio est PAR ICI.

Cordeliers, 12 mars 2022

Successivement : Bernard V., Roger, une suspendue, Bernard V., des suspendues (je n'ai plus en tête les prénoms des intervenantes – qui peuvent me contacter pour réparer cet oubli).

Cordeliers, 26 février 2022

Sophie chante la liberté et lance un appel aux distributeurs de tracts.

Cordeliers, 19 février 2022

Stéphanie et Frédérika parlent au nom du Collectif des suspendu(e)s 26/07, Pascal fait le point sur les actions en justice et Jean-Claude sur sa tentative de débat public. Attention, il s'agit d'un montage ; pour autant, les voix sont différentes et il n'y a pas de difficultés à identifier les orateurs.

Cordeliers, 19 février 2022

Kalou fait le récit de son voyage avec le Convoi de la Liberté.

Cordeliers, 5 février 2022

Appel pour le rassemblement du 12 février (Stéphanie) et intervention de Frédérika.

Stefan Cuvelier, 4 janvier 2022

Une intervention de Stefan Cuvelier sur TuTube qui fait du bien. Écoutez et profitez !

Cordeliers, 11 décembre 2021

Cet extrait est le témoignage d'une mamie confrontée à la maltraitance à l'école – selon ses propres termes.

« Pass sans choix à nouveau », témoignages de gens suspendus

Radio d'Ici, « Place publique », semaine du 8 novembre 2021.

« Pass sans choix », témoignages de gens suspendus

Radio d'Ici, « Place publique », semaine du 4 octobre 2021.

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